1. IP, IP, IP, Hourra ! IPV3


    Datte: 10/01/2018, Catégories: fh, fhh, cocus, fsoumise, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, jouet, yeuxbandés, confession,

    ... gland rose que je vois trancher sur des petites lèvres rouges. Il me regarde. Il voit certainement sur mon visage le désir, l’attente. Il a aussi la délicatesse de ne s’appuyer que d’un bras sans trop se pencher en avant afin de me laisser le plus longtemps possible voyeur de cette première fois. Une première fois, en direct, sans les artifices de la technologie. Je la vois. Déjà le gland est entré. La femme est si ouverte, si humide qu’un plongeon est facile. Mais la tige progresse doucement. Si doucement que la salope s’impatiente et pousse son ventre. Il ne peut pas résister plus longtemps. Ma femme est prise. Sait-elle qui la possède ? Son amant ou l’invité ? En tout cas, Arnaud commence à la baiser. Je regarde un moment. C’est encore mieux que le gros plan d’un film de cul. C’est ma femme et son amant. J’ai droit à la médaille du « cocu content » avec une mention spéciale « candauliste ». Ma femme dont les lèvres entrouvertes semblent m’appeler. Des lèvres qui s’ouvrent encore plus lorsqu’elles sentent un objet à leur frontière. L’œuf déforme sa bouche, bonbon énorme et chargé de sécrétions. C’est obscène, et si beau… Lorsque je tire sur la ficelle, la cochonne le libère. Mon gland le remplace. Ma queue avance à son tour. Le visage tourné vers moi tremble sous les coups de son amant. Elle fait de son mieux pour me sucer et me gober, mais ce n’est pas confortable pour elle comme pour moi. Je fais un geste à Arnaud. Il comprend. Alors que je libère ma femme de mon ...
    ... mandrin, Arnaud fait de même et ordonne : — À quatre pattes, petite pute ! Croit-il que de l’entendre parler ainsi me choque ? Oh, que non. Au contraire, cela m’excite. Je le regarde enfiler à nouveau mon épouse. Cette fois, c’est brutal. Mais aussi je peux voir parfaitement le disque de métal briller. Le disque qui est la partie visible de l’iceberg, le reste du plug étant dans le cul. Arnaud doit sentir la rudesse du métal de l’autre côté ; d’ailleurs, le disque bouge, manifestement déplacé par la grosse bite qui baise. Moi, je vais de l’autre côté. Ma bite à moi trouve le chemin des lèvres, de la bouche, de la gorge de la pute baisée par l’amant. C’est délicieusement pervers. Ma femme est entre deux feux. Deux queues la possèdent. Sa gorge est un gouffre où je disparais pendant qu’Arnaud la laboure. Je n’ai rien à faire. C’est elle, propulsée par cet amant vigoureux, qui me gobe. Mon gland découvre des abîmes inconnus. Inconnus de moi, mais pas d’Arnaud. La salive coule. Les yeux pleurent sous le masque, mais la salope ne refuse pas l’obstacle. C’est bon. C’est beau. Pervers, mais un équilibre parfait. Arnaud se libère dans la chatte, ponctuant ses éjaculations par des « Prends ça ! » Moi, je regarde, je rêve, je bande. Et puis moi aussi je jouis. Mon foutre jaillit et étouffe la pute, crachant, toussant sous la noyade. Que c’est beau, cette femelle qui est notre jouet et que nous utilisons à notre guise ! Je n’ai même pas honte de me comporter ainsi : je sais que la salope que ...