1. IP, IP, IP, Hourra ! IPV3


    Datte: 10/01/2018, Catégories: fh, fhh, cocus, fsoumise, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, jouet, yeuxbandés, confession,

    ... bien classiques sur sa venue, son passage en ville, une copine à voir, etc. Mais j’ai du mal à ne pas trop attarder mon regard sur sa silhouette ; j’imagine que sous cette robe plutôt sage, même un peu longue se cache tant de vice. Son petit cul est-il vraiment occupé par un plug ? Ses tétons sont-ils décorés par les pendentifs ? Elle est enjouée, exubérante, un peu comme lorsqu’elle a bu. À quoi pense-t-elle, missionnée par son amant, son mari juste en face ? — Tu es très belle, chérie. Dois-je être jaloux et penser que la copine que tu vas voir se rase tous les jours ? dis-je en souriant moi aussi. Mais Séverine a toujours eu beaucoup de répartie, et c’est avec à peine une seconde de retard qu’elle répond : — Non, pas tous les jours… Il porte la barbe… D’ailleurs, il faut que je me dépêche sinon il va me gronder. Et la coquine, heureuse de sa répartie, me fait un « smac » de loin avant de quitter mon bureau. La pièce sent encore son parfum que « Arnaud » reçoit une photo. Un texte l’accompagne. La photo est sans équivoque. Elle est assise, presque allongée. Derrière elle on distingue une chasse d’eau, un mur carrelé. Je connais ces dessins : ce sont ceux des toilettes de l’étage. La salope est allée directement dans ces toilettes, juste en sortant de mon bureau. Le selfie est intime. Pas de ceux que l’on peut montrer à quiconque ou que l’on peut prendre dans la rue. Les cuisses ouvertes, la surface polie d’un disque qui brille sous le flash, une fente avec des doigts. La ...
    ... seule pudeur est qu’on ne voit pas son visage. C’est on ne peut plus parlant : ma femme s’est branlée dans nos toilettes. Juste en sortant de mon bureau, excitée par cette mission. Quelques minutes plus tard, c’est moi qui vais prendre sa place. Assis sur le siège encore tiède, une main tenant ma tablette où la vidéo défile, l’autre sur ma queue dure à souhait, je me branle. Surtout ne pas penser ! Surtout ne pas réfléchir ! Je me noie dans mes pensées. Pensées de plus en plus perverses. J’imagine que Séverine doit être frustrée par l’indifférence de son amant. Espacer leurs échanges fait partie de mon plan. Mais plus je réfléchis, plus je m’enfonce. Au début, je pensais qu’elle comprendrait. Qu’elle croirait qu’Arnaud essaye de la quitter. Je voulais qu’elle cherche un autre amant, une relation plus « classique » sans ce risque pour moi. Des cornes, oui, sans problème, mais des cornes de verre, invisibles, sans danger pour mon job. Mais elle s’accroche, et le pire c’est que je prends goût – un goût pervers – à prendre la place d’Arnaud. Quand je dis que moi aussi je deviens pervers… Il faut l’être pour faire dire à Arnaud : L’espace d’un instant, j’ai cru que j’avais gagné et que Séverine allait couper les ponts. Mais non. Elle s’accroche. Il la tient par « les couilles », la salope. C’est le vendredi soir, en franchissant le seuil de la maison, que je comprends qu’elle s’est décidée. Le salon est dans une pénombre où quelques bougies se distinguent. Personne, mais le seau à ...
«1...345...15»