IP, IP, IP, Hourra ! IPV3
Datte: 10/01/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
cocus,
fsoumise,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
jouet,
yeuxbandés,
confession,
... champagne, les verres et des amuse-gueules sentent le traquenard. — Je suis rentré. Qu’est-ce qui se passe ? fais-je, jouant mon rôle de mari étonné par cette mise en scène.— Oh, tu es déjà rentré ? Je ne suis pas prête. Installe-toi, j’arrive bientôt. Bien entendu que je m’installe. J’ouvre même la bouteille de champagne et remplis les deux flûtes. Elle arrive. La coquine a mis la robe fuchsia. Elle sait bien entendu que cette robe est « particulière » pour moi. Elle se souvient de cette baise rapide dans la chambre, comme deux ados fous d’envie et d’amour. Étrangement, nous n’avons pas répété l’expérience. Mais elle se souvient. La preuve, c’est que même pour son amant elle y attache une connotation sexuelle. Elle est belle. Coiffée, maquillée. La robe lui va toujours bien. Elle a même assorti ses bijoux avec. — Tu es très belle, ma chérie, dis-je en me levant à son arrivée. Qu’est-ce que nous fêtons ?— Rien.— Ah !— Juste une envie de nous retrouver ensemble. Cela fait longtemps que nous n’avons pas pris de temps pour nous.— C’est vrai. Je m’excuse. Je suis coupable. Trop de travail, de responsabilités. Je te néglige.— C’est vrai, mais je comprends. Moi-même j’ai été peut-être trop « mère » et pas assez « épouse ».— Non, non, chérie. Oublions cela. Trinquons. Trinquons à nous. Les flûtes résonnent. — J’ai quelque chose à t’avouer… m’annonce ma femme. Voilà. C’est le moment. Elle a décidé de m’avouer son infidélité. Elle est au pied du mur. Mais je serai magnanime. Même si ...
... elle le sait déjà, je ferai mine d’avouer aussi. Ainsi nous repartirons sur de nouvelles bases. Je sais maintenant ses envies secrètes, son goût pour une sexualité inventive, avec une dose de soumission. Je me vois déjà son mari, son amant, son maître. Je me vois déjà lui imposer des choses que je n’imaginais pas avant, pas avant de la voire pute, soumise, chienne, salope. — Oui, ma chérie, je t’écoute.— Voilà : j’ai organisé à la maison une séance de vente à domicile. « Merde, c’est tout ? » — Et alors ?— Une vendeuse de lingerie.— C’est bien. Ainsi tes journées paraissent moins longues. De la lingerie, dis-tu ? Mon air égrillard parle pour moi. — Oui. Et j’ai acheté un ensemble.— Oh ! Ainsi ma femme va me montrer sa lingerie de pute ! Comment dois-je réagir ? Et puis je me dis que d’une certaine façon j’ai déjà vécu, par vidéo et personne interposée, une scène identique. À moi de jouer le rôle de l’amant. — Tu la portes sur toi ?— Oui. Alors je me cale dans les coussins du canapé, montrant ainsi que je désire n’être qu’un spectateur et je dis : — Je comprends pourquoi tu as mis ma robe fétiche. Montre-moi, chérie, ton nouvel ensemble. Si Séverine est surprise par mon attitude, elle ne le montre pas. Elle souffle juste la bougie qui est sur la table basse, ne laissant que celles qui nous laissent cependant dans une pénombre vivante. Elle n’est pas si provocatrice qu’avec son amant, mais elle ne tire pas simplement sur la fermeture Éclair de sa robe. L’ombre lui va bien. Je ...