1. IP, IP, IP, Hourra ! IPV3


    Datte: 10/01/2018, Catégories: fh, fhh, cocus, fsoumise, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, jouet, yeuxbandés, confession,

    ... femme… Cette femme que j’ai négligée et qu’un autre utilise. Cette femme qu’il baise et souille, mais une femme qui apprécie ce traitement au point d’en perdre toute prudence. Cette femme qu’il y a quelques jours je voyais… Oui, je la voyais. Dans cette pièce. Sur ce canapé même où il… Séverine est étonnée de me sentir bouger. Mais je suis pris d’une envie irrésistible, le cerveau saturé d’images. Pourtant elle se laisse faire. La faire mettre en levrette sur le canapé, les bras en appui sur le dossier lui semble familier, bien sûr. Mais elle ne sait pas que moi j’ai une autre vision. Et déjà je me dis que l’enregistrement que j’ai discrètement lancé à mon arrivée va me fournir un comparateur. — Ahhhhhhhhhhh… Oui, moi aussi je suis capable de tirer ce cri de surprise et de plaisir alors que je m’enfile d’un coup dans sa chatte ouverte comme un hall de gare. Moi aussi je sais labourer sans retenue cette grotte dont les parois se referment sur moi. — C’est bon. C’est bon, dis-je alors que la femelle que je baise bouge à mon rythme.— Oui… Oui… Oui… Je ne sais plus dans quelle chanson j’ai entendu « Ce petit oui charmant », mais les « oui » de ma femme ont une sonorité extraordinaire. Des « oui » qui viennent du ventre, des tripes, expulsés à chaque fois que ma bite est au plus profond. C’est un délice, le paradis sur terre. Je me sens fort. J’ai l’impression que je pourrais la baiser pendant des heures. La puissance du mâle qui s’applique à la femelle consentante. Mais aussi un ...
    ... autre souvenir me revient. Lorsqu’Arnaud dans la même situation a glissé son pouce… Moi aussi je peux le faire. Mon pouce salivé cherche le chemin. Il a toujours été timide, mais l’exemple est dans ma tête. Il se crochète assez facilement. Il est à fond, ma paume vers le haut, laissant la place à mon ventre qui heurte les fesses de la cochonne à quatre pattes. — Ahhhhhhh.— C’est bon. C’est bon. répète le baiseur que je suis.— Oui… Oui… Oui… « Bis repetita placent. », comme disait mon prof de latin de ma jeunesse. Mais je peux faire preuve d’imagination et le « Tu aimes ? » qui me vient à l’esprit ne s’attendait pas à autre chose que « oui », au mieux. — Oui, oui. Prends-moi… C’est bon… Prends-moi… Je suis ta… cochonne. Un instant j’ai pensé qu’elle allait dire « ta pute ». Un instant elle a pensé que c’était Arnaud. Mais non, chérie, c’est ton mari. Un mari qui, du coup, enlève ce pouce qu’a immiscé l’amant avec nous, trio involontaire. — Oui. Cochonne. Dis-moi. Parle-moi.— C’est bon. Je te sens bien. Tu es gros. Ses hanches sont des bouées où je m’agrippe. Séverine a avancé sous mes poussées. Maintenant c’est sa tête qui repose sur le dossier du canapé. Ses bras ont disparu. Je comprends qu’elle se caresse, un sein, son clitoris. — Cochonne, friponne… Bien d’autres mots me viennent en tête, comme : salope, pute, garce, perverse, gueuse, roulure, traînée, mots brutaux et vulgaires qui pourraient la choquer, mais qui pour moi ne seraient que des mots excitants. — Oh, Pascal, ...
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