1. Une vache humaine. Le lait, ce sont les femmes qui le produisent le mieux. (1)


    Datte: 12/01/2018, Catégories: Divers,

    ... la cerise sur le gâteau. Il ne fallut pas longtemps avant que Carole ne vienne me saluer. Mes yeux s’écarquillèrent lorsque je levai les yeux de mon téléphone pour voir une huvache, nue, se tenant devant moi, tenant un bloc-notes. Elle avait les cheveux sombres aux épaules et semblait avoir la trentaine. Ses gros seins pendaient devant son nombril, se terminant par un gros mamelon, presque de la taille d’une saucisse cocktail. Elle a souri à ma réaction et a pris une de ses mamelles. Le gros mamelon ressortait entre ses doigts. — Première fois à la ferme laitière ? — Euh ... oui - dis-je, me sentant rougir. — Ne t’inquiète pas. Tous réagissent de la même façon lors de leur première visite. Elle ouvrit la porte derrière elle. — Viens avec moi et je te montrerai. Je l’ai suivie, passant la porte et dans un long couloir recouvert de moquette. Quelques autres huvaches bavardaient contre un mur, nues, comme Carole. Jess avait raison. Les huvaches passent leurs journées à la ferme laitière nue. — Cet étage est principalement occupé par les bureaux. L’usine de lait est dans l’aile est du bâtiment. C’est aux étages supérieurs que les huvaches vivent et sont traites. Je ne répondais rien, trop occupé à admirer les seins des huvaches que nous croisions. Elles étaient tous d’âges différents, jeunes, vieilles, mais leurs seins semblaient sans âge. Même une huvache qui semblait beaucoup plus vieille que Carole avait des seins à la peau douce et lisse et semblaient ronds et pleins. Je ...
    ... me retournais vers Carole alors qu’elle me conduisait dans le couloir ne me laissant distraire que par son cul, nu, qui se balançait devant moi à chaque pas. Il était tonique et arrondi. Mon silence devait être révélateur et elle me regarda par-dessus son épaule avec un sourire entendu. Ses yeux tombèrent sur mon pantalon et elle laissa échapper un rire. Je baissai les yeux et réalisais soudainement qu’une bosse visible était en train de se former. — Hum - commençai-je, essayant de couvrir la zone délictuelle bien qu’elle en eut déjà assez vu. — Ne t’inquiète pas, c’est naturel. Nous pourrions parier ici pour savoir à quel moment un homme de passage à sa première érection. Maintenant, en avant, voici la pépinière ... — Pépinière ? demandais-je. — Oui. Là où nous soignons les veaux des huvaches. — Les veaux ? — Oui, les enfants des huvaches. Tu remarqueras que nous utilisons un vocabulaire différent ici. Elle s’arrêta et tourna son corps vers le mien. Ses gros seins se balançaient lourdement quand elle les prit dans ses deux mains. — Regarde, ce ne sont pas des seins, ce sont des mamelles, un peu comme ce que les vaches avaient. Les mamelles sont grandes et produisent du lait en permanence alors que les poitrines sont beaucoup plus petites et n’en produisent pas. Donc, nous avons pris l’habitude d’utiliser le terme mamelles pour nous, huvaches. Elle saisit ses gros mamelons entre son pouce et son index. — Et ce sont des trayons plutôt que des mamelons. Ils sont beaucoup plus ...
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