1. Une vache humaine. Le lait, ce sont les femmes qui le produisent le mieux. (1)


    Datte: 12/01/2018, Catégories: Divers,

    ... grands, parfaits pour s’intégrer dans la trayeuse. Et ce que tu regardais avant, c’est ma croupe. Pas de raison particulière, les huvaches ont juste des hanches plus larges que les femmes normales, donc nous avons eu envie d’adopter ce terme. — Très bien, je comprends - dis-je en savourant l’occasion de mater son corps sans honte. — Maintenant - dit-elle en recommençant à marcher, sa croupe se balançant d’un côté à l’autre, comme si elle faisait un spectacle pour moi - Allons-y et rencontrons la huvache à laquelle tu seras affecté. Nous nous arrêtâmes devant un ascenseur et Carole poussa le bouton. Les portes s’ouvrirent d’un coup, et nous entrâmes tous deux à l’intérieur, appuyés contre le mur en attendant que cela nous amène à notre étage. Carole commença à masser une de ses mamelles tandis que l’ascenseur montait — Je pense que je vais te quitter un moment pendant que tu rencontreras Ingrid, dit-elle. — Je me sens vraiment pleine. Je vais aller me faire traire, si cela ne te dérange pas de perdre ton guide pendant quelques minutes ? — Euh - dis-je en regardant la chair de son pis sous ses doigts. Les veines bleues commençaient à devenir visibles, montrant à quel point elle était engorgée. — Oui bien sûr. C’est très bien. — Excellent. dit-elle avec un sourire. Je remarquai qu’une goutte de lait avait commencé à se former à la fin de son trayon à cause du massage. Les portes s’ouvrirent et nous sortîmes dans un couloir occupé. Il y avait des huvaches partout, dans ...
    ... l’embrasure des portes, discutant avec celles qui étaient dans le couloir. Alors que je suivais Carole, je regardai par la porte ouverte dans les pièces au-delà. Elles ressemblaient beaucoup à des dortoirs universitaires. En fait, la façon dont tout le monde s’égaillait d’une pièce à l’autre me rappelait le collège. — Ça y est, annonça Carole en s’arrêtant devant une porte fermée. Comme je te l’ai dit, elle s’appelle Ingrid. Entre et discute avec elle. Vois si c’est quelqu’un avec qui tu aimerais passer du temps. — OK. Et je hochai la tête avec une soudaine nervosité. — Je serai de retour avant peu pour recueillir vos impressions. Elle me donna une tape sur l’épaule et retourna dans le couloir jusqu’à l’ascenseur. Je ne savais pas comment faire, j’ai frappé. — Entre – dit une voix venant de l’intérieur de la pièce avant que la porte ne s’ouvre, révélant une petite huvache rousse. Toutes les interrogations relatives à ce que le travail pouvait impliquer s’envolèrent à l’idée de passer du temps avec cette beauté. Elle avait un petit nez en trompette et de grands yeux bruns qui me regardaient à travers ses longs cheveux roux ondulés. Ses cheveux tombaient le long de son dos jusqu’à ses hanches courbes, et une petite tache de poils pubiens rouges ornait son petit mont sous ses mamelles. — Heu……. - dis-je. Je n’avais aucune idée de quoi dire. — Oh, tu es le taureau d’entraînement – dit-elle, son visage s’égayant d’un immense sourire comme elle remarqua mes vêtements. — Le quoi ? — Entre - ...
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