1. Félline - Une BioXXXgraphie (3)


    Datte: 13/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... rencontre des lèvres de Jean, qu’elle embrassa avec passion. Tu ne voudrais pas lui montrer comment s’y prendre ? Avec la même énergie que lors de sa première entrée dans l’appartement de Jean, Félline se jeta sur son amant. Il perdit ses vêtements plus qu’il ne les ôta. Une seconde plus tard, ils tombaient dans le canapé, et Félline, au-dessus de Jean, n’eut même pas à chercher : la bite du mathématicien, dure comme du bois, se positionna juste au bon endroit. Félline se cambra et s’empala sur lui. _ Viens ici, garçon !, cria Jean. Penaud, ramolli, l’infortuné invité entra dans le salon. Jean continua : _ Tu vois, il faut la prendre comme ça. Tu vois son cul, son joli petit cul, hm ? Tu le tiens avec les deux mains, comme ça, pour que son bassin fasse le bon angle avec ta bite. Comme ça. _ Oui…, feula Félline. _ Voilà. Là, tu vois, mon gland touche son point G, tranquille, et je n’ai plus qu’à la laisser aller et venir sur moi. Elle va jouir toute seule si j’arrive à me retenir. Viens t’asseoir près de moi, elle va te prendre aussi pour te montrer. _ Je… Je…, balbutia le garçon. Il ne pouvait détacher ses yeux de Félline qui, tête renversée, gémissait en cadence. Tout à coup, revenant de sa tétanie, il remballa sa marchandise, reboutonna sa braguette, et détala sans demander son reste. La porte de l’appartement claqua derrière lui. L’air ahuri de Jean ...
    ... fit rire Félline. _ C’est le plus con que j’aie trouvé, dit Félline. _ Non mais con c’est une chose, puceau c’en est une autre. _ En attendant, content de la petite surprise, chéri ? _ Tu sens bien que je suis content, salope, cracha Jean. Tu sens comment elle est dure, ma bite, hein ? Il lui expédia une gifle. Félline accéléra son va-et-vient. _ Tu aimes le sexe, petite salope que tu es, hein ? _ Ta gueule ! Baise-moi ! Baise-moi plus fort que jamais ! Ils étaient déchaînés. Jamais ils n’avaient fait l’amour aussi fort. Félline chevauchait Jean avec de tels coups de bassins qu’elle se défonçait toute seule. Elle sentait une coulée de sueur descendre le long de son dos et rejoindre les mains de Jean qui la retenaient. Une jouissance vertigineuse souleva Félline et l’emporta très loin au-dessus du canapé. Jean se dégagea aussitôt, repoussa Félline sur le côté, se releva, lui présenta sa bite. _ Ouvre ta bouche, je veux te jouir dans la gueule. Ouvre ! Ouvre, vite ! A demi-consciente seulement, Félline obéit, sortit la langue, et reçut au fond de la gorge un flot de sperme qu’elle s’empressa d’avaler. Un deuxième jet, un troisième, suivirent. Jean grognait comme un porc. Enfin, il s’effondra sur le canapé, vidé de ses forces. _ La prochaine fois, dit-il, choisis-en un moins empoté, qu’on te baise à deux. _ Promis, chéri, répondit Félline en l’embrassant. 
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