Rendez vous à la banque : Carine et Elsa
Datte: 13/01/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Le rendez vous avec ma conseillère était pris depuis une semaine. J’avais cédé. Harcelée au téléphone, j’avais fini par accepter de discuter avec elle. Voilà plusieurs mois que j’avais un crédit sur mon compte (ça change, après des mois de découvert), elle voulait me proposer des placements, très intéressants, bla-bla-bla … Carine S, c’est ainsi que s’appelle ma banquière avait gagné, j’avais accepté. Je n’étais pas disposée à signer quoi que ce soit, c’était juste par lassitude que j’avais pris ce rendez vous. 9h45, j’arrive à l’agence, légèrement en avance, j‘ai rendez vous à 10h00. On me dit de m’assoir et de patienter, Carine S, va me recevoir très rapidement. Voilà, c’est tout moi, arriver en avance et perdre mon temps à attendre. La vingtaine de minutes d’attente a finalement passé très rapidement. Je ne me suis pas du tout intéressée aux brochures et flyers à ma disposition, j’ai plutôt passé mon temps à regarder la petite jeune au guichet recevoir les clients. Une jolie brunette répondant au prénom d’Elsa d’après le badge qu’elle portait. Maximum 22, 23 ans. Plutôt petite, une beau regard bleu, les cheveux attachés en chignon, elle était toute mimi. A chaque fois qu’elle se levait pour fouiller dans les tiroirs du meuble derrière elle, pour sortir un chéquier, je reluquais ses formes plutôt avenantes. Quelle joie, quand elle devait fouiller dans les tiroirs du bas, elle s’accroupissait et sa jupe, qui lui arrivait au dessus du genou remontait sur ses cuisses. Superbe ...
... spectacle, dont je ne me laissait pas. « Madame, c’est à vous, Carine S., est disponible, elle va vous recevoir » La voix d‘Elsa me tire de mes rêveries. « C’est le bureau au fond à droite, elle vous attend » - Merci La porte est ouverte, le panneau annonce bien que c’est le bureau de Carine S., je frappe … « Entrez » Une grande femme vient m’accueillir, tout sourire. La quarantaine, cheveux châtains foncé, tirés en arrière et en queue de cheval, un tailleur plutôt stricte, la veste ouverte sur un chemisier blanc, cachant une poitrine à priori plutôt volumineuse. Superbe femme ! Elle me tend la main pour me la serrer. Sa poignée de main ferme d’abord, devient plus légère sur la fin. On dirait qu’elle ne lâche ma main qu’à regret. Ca a duré l’espace d’une seconde, mais j’ai l’impression qu’elle a gardé mes doigts dans les siens. Tout le temps où nos mains ont été en contact, son regard n’a pas lâché le mien. Elle m’invite à m’assoir, sur le siège devant son bureau et regagne son propre fauteuil de l’autre côté. Le plateau de son bureau en verre fumé, me permet de voir ses cuisses gainées de noir, se croiser. L’air de rien, je me délecte du spectacle du bas de sa cuisse que sa jupe a dévoilé, de son genou, de son mollet, de sa cheville et de son pied enfermé dans des escarpins à hauts talons. Ses jambes sont magnifiquement proportionnées. Ce n’est pas une femme, c’est un idéal féminin. On se reconcentre Laeti … Mon regard remonte vers son visage. On est là pour un entretien sur ...