1. Rendez vous à la banque : Carine et Elsa


    Datte: 13/01/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    ... orifices. Tu peux la toucher si tu veux ! » Le doigt d’Elsa glisse le long de mes lèvres, titille mon clitoris. C’est maintenant deux doigts qui pénètrent mon vagin sans problème, tellement il est humidifié par la cyprine.. Ses doigts ressortent et viennent masser ma petite rondelle. « Ne nous égarons pas Elsa, il est temps de passer à la punition !! Prête ? - Oui Madame la Directrice - Avant toute chose, donne moi donc sa culotte Elsa. - Tenez Carine, attention, elle est détrempée - Ah oui, en effet, quelle cochonne. Ouvre la bouche Laetitia, on va faire en sorte que tes cris soient étouffés pour que tu n’ameute pas toute l’agence. Elle enfonce ma culotte dans ma bouche, profondément, jusqu’à la gorge. Cela provoque chez moi des hauts de cœur. - Respire par le nez, on va commencer, tu as l’air ridicule ma pauvre avec de la dentelle qui dépasse de ta bouche grande ouverte, les joues toutes gonflées. Une vraie dinde !! Elle est debout derrière moi, dressée, droite, elle le martinet en main. Elsa est appuyée contre le mur, sa jupe remontée, sa main dans sa culotte. Le premier coup de martinet cingle mes fesses. Je ressens une vive douleur, je pousse un cri « hannnnn » complètement assourdit par ma culotte que j’ai en bouche … « Chut, ma chérie, ça ne fait que commencer » Dans ma tête, je compte « un ». Le suivant arrive, me prend aussi par surprise, comme le premier « deux« , puis le troisième, je commence à perdre le décompte des coups. Cette première série passée, je ...
    ... commence à sentir la douleur provoquée dans ma chair par les lanières qui ont marqué à plusieurs reprises au même endroit sur mes fesses. Le coup suivant me surprend, car il claque sur le haut de mes cuisses. La fin de la série a été plus difficile. Ma chair déjà sensible, l’enchainement rapide et ferme des coups de martinet. Si je suis restée les fesses en l’air et la tête baissée lors des premiers coups, je me suis redressée et cambrée lors des derniers. Comme je disais, j’ai perdu le décompte en route, mais je suis persuadé que Carine m’a administré plus de six coups de martinet. Mes fesses brûlent, mais c’est du plaisir que j’éprouve. Du plaisir dans la douleur. De la douleur dans le plaisir. « A toi Elsa, arrête donc de te toucher et vient corriger à ton tour cette pintade. On dirait qu’elle y prend du plaisir en plus !! » C’est au tour d’Elsa de me flageller. Peut être a-t-elle moins d’expérience que Carine, peut-être frappe-t-elle plus fort, mais la douleur est plus forte. Peut être son manque d’expérience ne lui permet pas de maitriser ce savant dosage entre plaisir et douleur, que Carine possède totalement. En tout cas, je commence à bien mesurer la spécificité du martinet. Chaque coup, même fort, individuellement est supportable, mais c’est la succession qui crée cette sensation toute particulière de douleur. « Très bien C’est terminé, j’espère que la correction aura porté ses fruits !! Elsa !! Viens me rejoindre, toi Laetitia mets toi à genoux les mains dans le dos, et ...