1. Laure, la faiseuse de miracles


    Datte: 13/01/2018, Catégories: fh, alliance, Masturbation Oral nopéné,

    ... se tournèrent sur une image de chien pendant que l’on pouvait alors voir gicler des jets de sperme sur ces mêmes pages. À ce moment-là, j’entendis Laure s’esclaffer d’une façon un peu dégoûtée : — Ohhh ! Je mange un yaourt, là !— Tu veux dire que quand tu manges un yaourt, ça te fait penser à ça ? lui dis-je avec amusement.— Bah… là, oui ! Je ne sais pas alors ce qui m’a pris, mais sans réfléchir j’ajoutai alors en riant : — Il me semble que tu n’as pas toujours été dégoûtée par ça !— Quoi ? me dit-elle en me lançant un regard froid qui me mit très mal à l’aise.— Non, rien, laisse tomber…— Non, vas-y, dis-moi. Va au bout de ta pensée !— Non, mais je dis ça à cause de l’histoire que tu nous avais racontée un jour…— Bah, vas-y, accouche ! Je ne savais pas comment désamorcer la conversation que j’avais très largement alimentée… Je me décidai à lui décrire l’histoire, non sans peine… — Ah, ça ! Ouais, mais c’est pas pareil ! Là, je mange un yaourt tranquillement et bam, je vois un jeune boutonneux gicler…C’est pas très excitant. Alors qu’avec mon mec, il venait de me faire des choses qui méritaient bien une récompense ! Je crois que Laure, bien que parfois volontairement un peu allumeuse, ne mesurait pas toujours l’effet de ses paroles sur les autres, et en particulier sur moi. Toujours utile, une fois de plus, et sans réfléchir, j’ajoutai : — Oh là là ! Le chanceux !— Bah, c’est normal.— Je te promets, Laure, que ce n’est pas « normal » pour toutes les filles de faire ce ...
    ... genre de chose.— Eh bien moi, je vois pas le problème ; à part si le mec a un goût affreux, mais sinon c’est plutôt naturel…— Si tu le dis… me contentai-je de dire. Après un blanc de plusieurs minutes, en regardant le film, bien que je fusse déjà complètement déconnecté, Laure demanda : — Il a dit quoi, le gars ?— Hein ? Quoi ?— Je disais « Il a dit quoi, le gars ? »— Euh, je ne sais pas, j’étais ailleurs pour le coup.— T’étais où ?— Nulle part… Tu veux qu’on remette en arrière ?— Non, c’est bon. J’ai décroché aussi, de toute manière… Mais sinon pour en revenir à tout à l’heure, il y a un truc qui me pose question… J’en revenais pas que Laure aborde à nouveau ce sujet… — Tu veux dire qu’Élisabeth n’a jamais avalé ?— Euh, oui. Et je sais que ça n’arrivera jamais : elle peut pas.— Même en recrachant ?— Non, et c’est pour ça que je disais qu’il était chanceux, ton mec, car c’est pas le cas avec toutes les filles.— Je suis surprise pour Élisabeth. Donc, tu ne dois vivre qu’avec le souvenir d’avant ta femme ? C’est dur, mon pauvre petit bonhomme ! dit-elle avec moquerie.— Même pas : ni avec elle, ni avant.— Quoi, jamais ? Elle se redressa sur le fauteuil comme si je venais de lui faire la révélation du siècle. — Hmm hmm, jamais. Ça reste l’un de mes fantasmes, et il ne sera jamais réalisé… Je caricaturai une mine triste à cette phrase, histoire de rester dans une discussion plus drôle que sérieuse. — Bon, allez, baisse ton jean ; c’est ton jour de chance ! dit-elle en souriant avec ...
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