Voyage professionnel
Datte: 13/01/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
caférestau,
voyage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
... l’air, les lèvres entrouvertes. Je me régale à caresser ce sein, dont la peau est brûlante, douce et moite. Je le soupèse, gratte le téton avec l’ongle de mon pouce, le pinçant légèrement. Puis, délaissant la poitrine, je pose la main sur son genou, remonte lentement le long de sa cuisse, faisant crisser mes doigts sur le tissu fin du bas. Elle suit du regard le mouvement de ma main, décroise les jambes, redresse la tête, plonge les yeux dans les miens, me défiant fièrement du regard. Mes doigts franchissent la lisière du bas, atteignent la chair nue, là où le grain de peau est si fin, électrisant ma paume. Elle se cambre encore, ferme les yeux, écarte légèrement les genoux. J’en profite pour glisser la main entre ses cuisses, là où la peau est brûlante, ferme et tendre à la fois, une peau de femme, délicieuse à toucher, à caresser. — Retirez votre main, on va nous voir !— C’est vous qui avait provoqué ce jeu ; maintenant, il faut assumer.— Non, c’est vous, dans la salle d’embarquement, dans l’avion. Ignorant ses arguments, mes doigts glissent un peu plus haut, effleurant quelques poils débordant de la culotte, englués de mouille. — S’il vous plaît, arrêtez !— Voyons, Marie, vous aimez mes doigts, n’est-ce pas… Écartez encore un peu vos si belles cuisses !— Nonnn, je vous en prie, je suis trop… excitée. Retirant ma main, je porte les doigts à mes lèvres, hume l’odeur de chatte qui en émane, les glisse dans ma bouche… Je bande comme un salaud, elle me rend dingue ! — Patrick, ...
... s’il vous plaît, partons d’ici, emmenez-moi… Nous nous levons. Elle referme sa veste, me regarde encore dans les yeux, le regard flou. En étant debout, elle se rend compte qu’elle est affreusement mouillée. Le tissu de la culotte colle à sa vulve. Elle part devant. La suivant, je ne vois que ses fesses plantureuses étroitement moulées par le tissu de la jupe. Sa démarche est élégante, perchée sur ses escarpins. Malgré ses formes de femme épanouie, les attaches des chevilles et des genoux sont fines. Dans l’ascenseur qui monte à mon étage, je caresse son cul. En gémissant, elle se colle à moi, me tend ses lèvres, m’embrasse fougueusement. Nos dents s’entrechoquent, sa langue repousse la mienne pour envahir ma bouche, des filets de bave collent à nos lèvres. Reprenant son souffle, elle avoue : — Salaud, vous m’avez excitée comme une folle dans cet avion. Je sentais vos yeux fixés sur moi, je ne savais vraiment plus où j’en étais. Rarement un homme m’avait déshabillée du regard comme vous l’avez fait ; j’en avais les jambes qui tremblaient. J’avais terriblement envie de vous. Je sentais votre regard qui me brûlait, j’aurais voulu pouvoir vous en montrer plus, là, au milieu de tous ces gens.— Vous m’avez plu tout de suite. J’aime votre allure si classe, vos formes, vos seins lourds et durs, vos cuisses que vous montrez sans vergogne…— Oh, taisez-vous ! J’ai tellement envie d’un homme, de… vous. Arrivés au 11ème étage, la prenant par la taille, je l’entraîne dans ma chambre. Elle ...