Voyage professionnel
Datte: 13/01/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
caférestau,
voyage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
... se colle encore contre moi, nous heurtant contre le chambranle de la porte. Sa langue s’enfonce dans ma bouche, tourne, virevolte. Je lui rends son baiser avec passion, pétris ses fesses à pleines mains. D’un coup de pied, je referme la porte. Fou de désir, mes mains se ruent à l’assaut de son chemisier, l’ouvrent. Les seins jaillissent, libres. Ils ne sont pas parfaits, mais ça la rend plus humaine, plus excitante. Ils sont lourds et fermes, durcis par l’excitation. Longtemps je les caresse, les tripote. Des gouttes de transpiration roulent dans le sillon séparant les deux globes. Les aréoles, terminées par des mamelons épais, tendus, me donnent envie de la téter. Les reins cambrés, elle me les offre, le regard flou, enserrant mon visage de ses mains. Pour la calmer, je délaisse sa poitrine, l’embrasse tendrement. Mes mains caressent son dos nu, descendent le long des reins. Je lui fais sentir mon désir en appuyant ma queue contre son pubis. Le brusque silence la trouble. Fuyant mon regard, elle remonte sa jupe au niveau des reins, offrant ses fesses presque nues à la caresse de mes mains. Je saisis les deux globes de chair vivante, les pétris, insinuant un doigt le long du bord de la culotte. Ivre d’envie, elle ouvre ma chemise, caresse mon torse – quelques instants seulement – avant de se ruer vers ma ceinture qu’elle défait maladroitement, les doigts tremblants d’excitation. Ses doigts bagués saisissent mon membre, le dégagent du slip. Mon cœur bat à tout rompre. Elle ...
... fixe ma queue au gland mauve qu’elle fait saillir dans sa paume. Mes doigts suivent le contour de sa culotte, atteignent la vulve à peine recouverte par le tissu fin. Quelques poils englués de mouille s’accrochent à mes ongles. — Vous êtes trempée, petite cochonne, votre culotte est à tordre ! Je baisse son slip jusqu’au niveau des genoux, pas plus bas. Ses jambes tremblent. Ma main s’infiltre ; deux doigts suivent le contour des petites lèvres, les pincent légèrement, atteignent le clitoris turgescent, l’effleurant à peine. Elle pousse un gémissement, tend sa chatte à la rencontre de mes doigts. Brusquement, je les enfonce dans le con gluant, bien à fond. Lâchant ma queue, elle s’agrippe à mes épaules. — Marie, je vais te baiser ! Ta chatte dégouline, tu sens la femelle en chaleur. Tu as envie d’une bite, n’est-ce pas, une bonne bite bien dure !— Oh, vous me dites des choses… tu… tu me parles comme à une… c’est… ça m’excite ! Mes mots fouettent l’excitation de la femme qui ferme les yeux. Elle tend le bras, cherche ma tige en tâtonnant ; sa main l’empoigne, la serre à m’en faire crier. Elle soupire ; j’en profite pour la plaquer contre le bureau. Mon gland cogne contre son pubis, froisse les nymphes enflées de sa vulve. Elle écarte les jambes autant que lui permet la culotte qui lui scie les cuisses. Elle étouffe des gémissements sourds en plaquant sa bouche dans mon cou. Mes doigts écartent les petites lèvres gonflées, fouillent la vulve. Des gouttes de mouille glissent, ...