1. Initiation d'une jeune fille de 20 ans par une sexagénaire épanouie


    Datte: 14/01/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... souffla Roselyne entre deux halètements. - Oh oui, c'est bon ! Puis Roselyne éprouva le besoin de respirer et se détacha de son amant dans un bruit mouillé, accompagnant des mains comme Martin le mouvement de hanches de sa petite-fille qui se découvrit dans le miroir criant de plaisir. - Allez, maintenant, on change de position, finit par dire la sexagénaire. On va se mettre à quatre pattes devant la glace et ces messieurs vont nous prendre par derrière, on appelle ça la levrette. Et joignant le geste à la parole, Roselyne se positionna face au miroir, seins ballants et cul offert. Une nouvelle fois, Diane limita, exposant son corps mince à côté des rondeurs épanouies de sa grand-mère. Elle avait vue panoramique sur les deux hommes à genoux derrière elles, concentrés, mains posées sur leurs hanches et ressentit le bienfait de la pénétration en même temps que Roselyne. Elles gémirent à l'unisson, s'observant tout en observant leur partenaire. Roselyne glissa une main entre ses jambes à la recherche des couilles de Gildas et Diane fit de même. Les deux hommes grognèrent de satisfaction. De sentir les lourdes glandes balloter dans sa main pendant qu'elle se faisait besogner mit Diane dans un état d'excitation extrême. Cela dut se voir sur son visage car Roselyne s'exclama : - Bien ma chérie, tu baises, tu baises vraiment maintenant. Sa réflexion eut pour effet de déclencher une rafale de coups de bite des deux hommes et les deux femmes poussèrent une série de cris, la voix ...
    ... pointue de Diane se mêlant à celle plus grave de Roselyne dont les seins plantureux dansaient une samba effrénée. Diane ne savait plus ce qu'elle devait regarder dans le miroir : elle-même, le visage contracté de plaisir, sa grand-mère, agitée d'un véritable délire érotique ou son amant, tendu comme un arc. A chaque fois que le gland survitaminé de Martin frottait une paroi hypersensible de son vagin trempé, elle poussait un petit cri de joie. Roselyne modifia sa position en se mettant de profil aux miroirs, toujours en levrette. Diane l'imita. Les deux hommes se remirent à les besogner avec ardeur. - Regarde-toi, regarde la bite entrer et sortir, interpella la sexagénaire, qui s'observait dans le miroir. Devant la vision de la longue queue de Martin qui la fouillait tel un métronome de chair tendue, et celle des couilles de Gildas qui ballotaient contre les fesses dodues de sa grand-mère, Diane sentit monter en elle un violent orgasme. Elle cria et s'effondra à plat ventre en frissonnant, la peau constellée de chair de poule. - Oh quel pied ! lâcha-t-elle en haletant. Par un contrôle quasi héroïque, le grand chauve qui la besognait avait réussi à conserver son sperme. Un coup pareil, on se le garde au maximum, se disait-il. Mais Roselyne allait quelque peu modifier son plan. Fraiche comme une rose alors que sa petite fille commençait tout juste à refaire surface, elle l'interpella en ces termes : - Allez maintenant, on change. Tu vas avec Gildas, moi avec Martin. Diane resta ...
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