1. Dame Erika (14)


    Datte: 14/01/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... direct, sans réfléchir. Je serai alors certaine qu’elles disent vrai. Droit dans les yeux, les sourcils froncés. Un hochement de tête. Je repose la question : — Tu as déjà un petit-ami, c’est ça ? Et il est où ? Elles ont compris : la réponse arrive franche, directe. Sans broncher, Sara, le regard fixe, déterminée, me répond : — Il s’appelle Étienne. Il travaille aux cuisines, il a mon âge, et on… on s’aime ; mais on n’a pas le droit de le faire. Ode a suivi Sara dans sa description. — Le mien, il s’appelle Renaud. Il est beau, il est fort. Des fois, il part à la guerre ; j’ai peur et je pleure quand il n’est pas là. Il est palefrenier, il s’occupe des chevaux. — Faites-nous confiance : vous allez les avoir, vos amoureux, et vous allez le faire, comme tu dis… Tu lui as dit que tu l’aimes, au moins ? Tu l’as déjà embrassé ? — Non, Élise, on n’a pas le droit de le faire, sinon… — Tout à l’heure vous irez les chercher. Quand tu vas le retrouver, tu vas lui prendre la tête comme ça (je lui prends la tête à deux mains), tu vas le regarder comme ça (mon regard se plante dans ses yeux) et tu vas lui dire « Je t’aime. » Après, tu vas l’embrasser comme ça (je lui roule la galoche de chez galoche), et pour finir, tu le prends par la main et l’amènes chez Dame Erika au galop. C’est compris ? Elles nous répondent à l’unisson un « Ouiii… ! » si fort que Dame Erika a dû l’entendre de là où elle se trouve. Tout est fin prêt : chacune a un plateau, la tête haute, la poitrine relevée, le ...
    ... sourire aux lèvres. Elles sont belles ; elles ont une de ces paires de seins… j’en suis presque jalouse. Nous nous avançons, nues, fières, le regard haut, telles des servantes égyptiennes. Les plats déposés, une révérence et un sourire étincelant, les deux jeunes femmes attendent debout, immobiles. Dame Erika écarquille les yeux. — Dame Erika souhaiterait-elle avoir un avant-goût du nouveau spectacle ? dis-je. — Un nouveau spectacle ? Déjà ? Euh, je veux bien… répond Dame Erika, surprise. — Damoiselles, c’est à vous. Tin-tin-tiiiin… Mes deux apprenties comédiennes choisissent de répéter le « Je t’aime » prévu pour leur petit-ami, version accélérée ; elles préfèreraient le jouer avec Renaud et Étienne. Elles décident de se placer face à face, et de profil par rapport à Dame Erika afin qu’elle apprécie mieux le spectacle. Les yeux dans les yeux, les mains sur les joues, elles s’engloutissent la langue, laissant échapper des « slurp » de succions. Sara quitte la bouche d’Ode, lui suce les tétons, accroupie, et c’est au tour du mont de Vénus et du clitoris d’Ode de subir les assauts de la langue de Sara. Elle remonte vers la bouche d’Ode sans oublier au passage les tétons qui se font mordiller allègrement. Ode à son tour reproduit les mêmes gestes sur Sara. Leur respiration s’accélère ; elles y mettent du cœur, de la passion. Putain, je me vois avec Tina ! Je ne sais pas si elles sont lesbiennes, mais en tout cas, si c’est de la comédie, c’est magnifiquement réussi. Pour finir je ...