Dame Erika (14)
Datte: 14/01/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... m’assois par terre en tailleur face à Dame Erika pour qu’elle puisse bien voir ma chatte dégoulinante de mouille, tellement ces deux futures déesses de l’amour m’excitent. Les coudes en appui sur les genoux, les avant-bras à la verticale, je leur offre deux doigts en guise de godemiché. L’invitation leur plaît visiblement car elles viennent s’empaler sur mes doigts, le plus loin possible. L’une pince les tétons de l’autre ; je les masturbe, et elles s’embrassent avec la fougue de leur jeunesse. Tina, les de deux mains dans l’encolure de Dame Erika, lui malaxe les seins ; je la vois lui pincer le tétons. Les garçons fouillent sous sa robe. Deux mecs et une nana rien que pour elle, il y en a qui ne se refusent rien ! Mais c’est pour la bonne cause. Mes deux apprenties respirent de plus en plus fort ; mon doigté devient rapide. Les deux filles se pincent très fort. Leur vulve se resserre sur mes doigts, les contractions sont là, fortes ; elles se broient littéralement les seins. Elles s’embouchent encore plus fort, crient dans leur bouche dégoulinante de salive et moi de mouille. Dame Erika n’a pas joui. Je me relève au milieu d’elles, les prends par les épaules, et nous saluons. Dame Erika applaudit. Je suis contente ; c’est le moment de tenir ma promesse. Les deux filles me regardent ; je leur rends un clin d’œil complice. — Dame Erika, cela vous a-t-il plu ? — Damoiselles, pour un début, c’est très prometteur. Je vais tenir ma ...
... promesse : je ferai sonner les trompettes pour que je vous trouve un mari à vous donner en épousailles. Je cramponne les deux filles. — Dame Erika, elles ont une faveur à vous demander. Je leur donne une claque d’encouragement sur le cul. — Dame Erika, nous avons déjà un petit-ami, et nous voudrions que ce soit eux nos maris, s’il vous plaît. Après un long silence à observer nos corps, elle regarde ses servantes qui n’ont pas lâché du regard leur maîtresse ; nos trois paires d’yeux sont braquées sur elle. Toutes les trois, nous sommes plus déterminées. De plus, j’ai une parade imparable au cas où elle ne céderait pas. Nous attendons le verdict qui fera tout basculer ; le temps paraît durer une éternité, et enfin c’est la délivrance. Dame Erika parle : — Soit ! Cela m’évitera de chercher. Vous irez les quérir ce soir et vous me les présenterez demain. Le ton est froid, autoritaire ; je me demande si elle n’est pas contrariée parce que je suis intervenue, parce que je lui ai un peu piqué sa place en quelque sorte. — Dame Erika, ils sont ici, au château. Ils travaillent l’un aux cuisines, et l’autre est palefrenier. Ils s’appellent… répond Ode dont la timidité semble avoir disparue. — Eh bien, en ce cas, allez les chercher que je les voie, ces garçons ; et habillez-vous ! Elle n’a pas fini sa phrase qu’elles sont déjà parties. Il n’est même pas certain qu’elles aient terminé de fermer leur cape avant d’arriver en bas. oanoyyhe [à suivre]