La rencontre
Datte: 14/01/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
inconnu,
fépilée,
telnet,
69,
pénétratio,
fdanus,
... demande qu’à abuser de son corps. Le coup de téléphone n’est qu’une formalité, une manière de m’assurer que c’est bien une fille. Car ma décision est prise, vu sa description et sa détermination, si c’est une fille j’y vais et avec la ferme intention de la sauter. Au téléphone, elle est très claire ; elle n’est plus vierge, s’étant fait dépuceler à quinze ans, elle est très chaude, me dit-elle, mais elle exige le préservatif et prend la pilule. Sa voix plus que sensuelle me fait faire un pas de plus en avant : — «O.K., j’arrive, d’ici 5 minutes, je suis en voiture». Elle a l’air très heureuse et son «Je t’embrasse mon chéri et à tout de suite, je mouille déjà…» m’occupe l’esprit alors que je conduis. Le long de Roland Garros, quelques putes sont là et les voitures ont commencé leur manège nocturne. Je m’arrête devant le numéro donné et je gare la voiture ; c’est un immeuble plutôt chic, construit dans les dix dernières années, elle habite au 5°, un duplex avec terrasse. Je sonne et elle me répond : — «Monte au 5°». Une fois dans le hall puis dans l’ascenseur, il me semble que mon destin est lancé, que le «point de non-retour» est atteint. Je sais que je monte sauter une fille, mais je suis à mille lieues de soupçonner le dixième de ce qui va m’arriver. Les étages se succèdent et une fois au 5°, elle est là dans le couloir devant l’ascenseur, en nuisette et «culotte», enfin plutôt un string très échancré ; pour moi qui ai toujours eu un faible pour la lingerie, je suis bien ...
... accueilli. Elle se colle contre moi et sa bouche vient se poser sur la mienne, sa langue forçant, sans trop de mal, le passage pour venir fouiller ma bouche. Après ces prises de bec, elle m’entraîne dans son appartement et il s’avère être plutôt géant. Dans un salon immense, du mobilier moderne dont 3 ou 4 canapés et de grandes baies vitrées qui ouvrent la vue sur une terrasse. Très vite elle se dévêt et je l’imite… Son pubis n’est pas très poilu, car elle s’épile et en dessous du mont de Vénus, on voit ses grosses lèvres roses. Elle se vautre sur un canapé, ouvrant grand à ma vue l’intérieur de ses cuisses, s’exhibant dans une position très obscène. Elle s’écarte la fente à deux mains exhibant l’intérieur rose et humide de son con. Elle mouille beaucoup et se met à se masturber, ses cuisses grandes ouvertes me laissent voir sa vulve aux lèvres béantes ; elle fait entrer et sortir ses doigts de son vagin. Je la regarde en me caressant. — «Viens me toucher…« Soupire-t-elle. Je passe un doigt dans la fente gluante de Vanessa, puis l’envie dominant le plaisir, je fais aller et venir mes doigts dans son con. Elle me regarde la branler tout en suçant ses doigts pleins de mouille et en se caressant les seins. À ce moment-là, je l’attire sur moi tête-bêche, abaissant son bas ventre vers ma tête, ma bouche se collant à son con, j’y enfonce la langue. Je mordille, suce, pince son clitoris, la faisant grogner de plaisir. Quant à elle, sa bouche s’active sur ma queue et elle est assez ...