1. La rencontre


    Datte: 14/01/2018, Catégories: fh, jeunes, inconnu, fépilée, telnet, 69, pénétratio, fdanus,

    ... experte en la matière, mais je ne m’avoue pas vaincu et tandis que je martyrise sa chatte et son clitoris, mes doigts forcent sa pastille et je défonce son anus avec trois doigts ; à ce moment-là, un plaisir trop intense déferle, elle explose, et ne pouvant se retenir, déverse sur ma figure un flot de mouille que je bois sans broncher. Cela me procure tant de sensations et de plaisir que je décharge à mon tour dans sa bouche. Nous roulons par terre en nous lovant l’un contre l’autre afin de récupérer de ce premier et terrible orgasme. Puis une fois remis, elle me précède à l’étage, vers sa chambre. Cette dernière est immense et le lit est dans les mêmes proportions que la pièce. — «Tous les lits de la maison sont faits sur mesure» me dit-elle «les parents sont assez libertins et ont pensé qu’un jour…» Oui, à coup sûr, on peut tenir jusqu’à quatre dans son lit. — «Ce soir, je propose que nous restions là, tous les deux, nous aurons largement le temps de nous dévergonder ailleurs dans les prochains jours.» me déclare-t-elle… J’acquiesce sans trop savoir ce qu’elle veut dire, déjà très heureux de «disposer» d’une fille si chaude pour la nuit. Je referme la porte derrière moi, Vanessa est debout, au milieu de la chambre. Je la prends dans mes bras et l’embrasse longuement, tout en pelotant sa poitrine. Je tiens ses seins à pleines mains et les caresse doucement. Son souffle se fait plus court et elle se met à trembler quelque peu. Ses pointes se dressent. Je me penche et les ...
    ... suce à tour de rôle. Je tète doucement, passe parfois la langue sous les globes, obligeant Vanessa à se renverser en arrière. Elle tressaille lorsque je pose ma main sur sa chatte, d’autant plus qu’elle est encore largement ouverte. Elle écarte les jambes légèrement et je me mets à la fouiller lentement. Je me serre contre elle afin qu’elle sente ma queue dressée contre son ventre. Puis délicatement, je la pousse vers le lit et la fais s’allonger. Je lui écarte les jambes, me laisse tomber à genoux et tout de suite, plaque ma bouche sur son sexe et ma langue fouille sa chatte. À ses réactions, je devine que Vanessa ressent déjà de petites décharges électriques ; elle creuse son ventre, le gonfle et de petits frissons glissent le long de ses cuisses que j’ai posées sur mes épaules. Lorsque je la sens au bord de la jouissance, je m’arrête et viens quémander un baiser, désir qu’elle exauce, pressée qu’elle est de lécher son jus. Puis la ramenant vers le milieu du lit, je l’étends et m’agenouille au-dessus d’elle ; elle comprend vite où je veux en venir et elle s’empare d’une capote pour me l’enfiler. — «Je vais te la mettre, lui dis-je. Je vais te l’enfoncer. Mais je veux que tu me la mettes toi-même, c’est plus excitant…» Elle tend la main pour guider ma pine. Je m’allonge sur elle, entre ses jambes écartées et elle dirige elle-même mon vit vers son con béant. Dès que je sens sur mon gland l’orifice de sa vulve, je pousse légèrement et avec un frisson délicieux, je sens ma bite ...