1. Le voisin est un pur-sang (5)


    Datte: 07/07/2017, Catégories: Hétéro

    Il ne fut pas difficile de terminer l’éducation de ce jeune mâle. Le soir même il dût réitérer ses exploits tout seul, sans conseils, devant nous. Nous le vîmes fendre la raie sans ménagement dès que ma femme fut sur le dos, puis lui remonter les jambes, les rabattre vers son corps pour relever le bassin et mieux plonger dans la chatte; puis il demanda à Germain de prendre du gel et d’en enduire le trou de balle après qu’il se fût retiré du con. Pendant que Germain lubrifiait le trou de deux doigts et se masturbait, Henri astiquait aussi son membre vigoureux. Il présenta l’engin devant la rondelle après avoir fait mettre la femelle à genoux; le calibre de l’engin rendait toujours introduction un peu délicate même si maintenant le pétage de rondelle était devenu un classique et même à deux bites à la fois. Le temps de retrouver une certaine élasticité et le gros zob disparut dans les chairs. Solidement cramponné aux hanches, le petit salaud donnait de gigantesque coups de bite. Les muscles de son cul et de ses cuisses se tendaient sous l’effort et le spectacle étaient magnifique. Germain se rapprocha des oreilles de ma femme qui gémissait follement. " Il est bon le chibre de mon petit black dans ton cul, hein salope ? Tu vas jouir ma belle truie ? Tu kiffes les gros nœuds comme les nôtres" ? Mais Germain ne s’autorisa que des paroles. Il attendit patiemment, la verge raide, dressée, superbe que le petit eût fini et quand ce dernier gicla sur les nichons, Germain sans délai ...
    ... prit la place. Il se lubrifia le nœud sur le sperme dégoulinant des mamelles fermes et chaudes puis enconna ma femme sans ménagement de son braquemart de pur-sang. C’était toujours aussi impressionnant de le voir s’en servir et je ne me lassait pas d’assister à ces accouplements sauvages. Les jours suivant, à chaque fois que Germain venait tirer sa crampe quotidienne, il était suivi de son stagiaire qui prit vite le pli et acquit une véritable dextérité dans le maniement de sa queue. Les parties à quatre furent nombreuses, ardentes, humides. Je me demandai comment ma femme faisait pour encaisser tout cela sans dégout mais la queue de Germain, triomphante, appelait sans cesse la chair à exulter. Rapidement, Henri s’enhardit au point de venir lui même, seul, demander qu’on le soulageât. La première fois, il était un peu plus de midi. Germain avait dû s’absenter et Henri tout seul vint frapper à notre porte. "Tiens, tu es tout seul" ? — Oui, Germain est parti. — Tu as besoin de quelque chose"? -Ben, je me demandait, si c’était possible... enfin comme M. Germain.... -Quoi? — Madame Anne-Sophie n’est pas là ? — Si, qu’est-ce que tu lui veux ? Je le savais mais je m’amusais à le voir un peu embarrassé. "Monsieur Germain, quand, il vient....euh, je sais pas comment dire...". — Tu veux la sauter  ? — Oui, enfin si ça ne dérange pas" ? - Chérie, Henri est là" . — Qu’est-ce qu’il veut ? -Il parait qu’il ne peu plus se passer de toi. — Vrai ? — Sûr. Je crois qu’il bande déjà. — Ok, ...
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