1. Le voisin est un pur-sang (5)


    Datte: 07/07/2017, Catégories: Hétéro

    ... j’arrive. Il avait entendu. Je lui servis un verre en le priant de se foutre à poil, ce qu’il fit sans hésiter. Ce ne fut pas difficile, il avait juste un débardeur et un short. Anne-Sophie vint et se mit à genoux pour le sucer puis la séance commença. Je les regardai faire. Il avait acquis de solides réflexes et il la démonta selon son désir. Ainsi pendant tout le reste de son séjour, il revint se faire vider les couilles à satiété. Il adorait la position dite du "cavalier à la barre" où la femme allongée lève une jambe et la colle contre le corps de son amant qui enjambe l’autre j et la pénètre très profondément et "l’offrande secrète" où la femme se met sur le côté, replie la jambe qui n’est pas sur le lit et laisse pénétrer son mâle. De sorte qu’au lieu d’avoir deux mâles habituels, elle en eut trois. Mais elle ne put tenir le rythme. De plus, compte tenu que la baise se faisait sans capote, elle dut prendre la pilule ce qui arrivait rarement avec Germain car il préférait éjaculer sur ses gros lolos ou sur sa petite gueule de pute. Quand il s’oubliait à inonder le vagin , la pilule du lendemain faisait son effet. Quand Henri retourna dans son pays nous reprîmes notre routine à trois, enfin presque. Ma libido avait changé. Je prenais presque plus de plaisir à regarder Germain monter ma femme qu’à me joindre à eux; Souvent je le regardais déployer son grand vit et la foutre dans toutes les positions en ...
    ... me branlant à côté. Il me vint aussi l’idée de prendre des photos et, au fur et à mesure, je devins assez bon. J’achetai même un matériel adéquat pour prendre des gros plans. vpqvyyfc Les jours où Germain ne venait pas tirer son coup étaient rares. Parfois, trop fatiguée, Anne-Sophie lui disait non. Il n’insistait jamais. Mais nous pouvions aussi bien passer une soirée à trois sans baiser... mais c’était assez rare, il faut en convenir. Je ne me lassais jamais de les voir s’accoupler. J’étais fasciné par la masse du pieu de Germain qui s’insérait pourtant partout et qui toujours dégageait un flot abondant de sperme. J’aimais les coups de bite violents qui secouaient le corps de ma femme et qui imprimait aux seins énormes et fermes une ondulation excitante. Il incarnait pour moi l’homme, le mâle, la puissance virile avec une sorte de force animale. Mais Germain était nostalgique des plans à quatre. Il me demanda si je connaissais quelqu’un qui aurait pu se joindre à nous. Dans l’immédiat, je n’en vis pas mais au bout de quelques semaines, j’appris que Vincent, l’un de mes meilleurs potes, d’internat avait divorcé. Il est vrai que c’était un véritable Don Juan et je ne fut pas surpris que sa femme le quitte s’il avait été ce que sa réputation avait toujours soutenu. De commun accord avec Germain et Anne-So, nous l’invitâmes un week-end. Il arriva le vendredi soir. Nous ne lui avions rien dit de nos intentions. 
«12»