Une vache humaine. Le lait, ce sont les femmes qui le produisent le mieux. (2)
Datte: 15/01/2018,
Catégories:
Divers,
Je devins dur comme un âne. Je m’émerveillai à cette vue. Ses cheveux roux tombaient sur son dos comme une rivière, tandis que ses grosses mamelles pendaient en dessous d’elle, ses tétines roses au garde-à-vous. N’importe quelle injection valait d’avoir ce cadeau quand je le désirais. Juste au moment où je commençais à apprécier la sensation de ses lèvres enroulées autour de ma queue, elle recula. - Nous ne pouvons pas. Pas encore. Tu dois conserver ton sperme pour demain. Je me rapprochai d’elle et ramenai doucement sa main vers mon gland et la plaçai autour de ma queue. - Nous pouvons certainement nous amuser un peu ? Elle soupira et laissa sa main tomber, lâchant mon membre. — Non ... C’est vraiment mieux si on attend. Elle se leva du canapé et se plaça sur le bout de ses orteils, enroulant ses bras autour de mon cou, m’embrassant profondément. Ses mamelles s’interposaient entre nous, ses trayons me tapant dans le ventre. Nous nous sommes séparés et elle s’est reculée, ses yeux bruns me fixant profondément. — Demain, d’accord ? Ensuite, tu pourras m’engrosser. Je l’ai juste regardée, sans voix. Je ne désirais rien de plus que de me jeter sur elle pour la baiser ardemment. J’ai soupiré. Demain, me suis-je dit, juste un jour de plus et je pourrai... Elle baissa les yeux sur ma chemise et sourit. — Je pense qu’il est l’heure de ma traite maintenant. Je baissai les yeux et vis à quoi elle faisait allusion. Deux taches de lait bordaient ma chemise où ses trayons s’étaient ...
... frottés contre moi. — Tu peux regarder si tu veux, dit-elle en me contournant vers sa table de traite. Elle s’allongea sur la table de traite rembourrée, positionnant ses mamelles dans les tasses. Quand la machine s’est mise en marche et a commencé à sucer ses trayons, elle a déplacé ses jambes sur les côtés de la table et a trouvé de petits étriers. Comme je regardais, j’ai remarqué que la partie de la table sous son entrejambe était bordée de bosses plus fermes. — Tu vois - dit-elle alors qu’elle commençait à frotter sa chatte contre elles - ils l’ont conçue pour que nous puissions nous déconnecter pendant la traite. De plus, la moitié arrière de la table peut reculer, tu sais, juste au cas où un gros taureau déciderait de me rejoindre. Elle remua suggestivement sa croupe tandis que la porte derrière moi s’ouvrait. Je remontai rapidement mon pantalon alors que Carole entrait. - Oh, s’il te plait, Laurent, reste avec nous, la suite pourra être très amusante - dit-elle gaiement. — Je vois que vous avez appris à vous connaître tous les deux. — Oh oui - dit Ingrid, posant sa tête sur la table alors que la machine pompait ses mamelles. Je pense qu’il est parfait pour m’inséminer. - Excellent ! Alors, Laurent, quand commençons-nous ? Je restais là, penseur en regardant Ingrid. Il y avait évidemment tant de questions sur ce qui se passait. La seule chose dont j’étais sûr était que je ne pouvais plus me passer d’elle. Je voulais faire plus ample connaissance. — Oui, commençons ! Carole ...