1. Une vache humaine. Le lait, ce sont les femmes qui le produisent le mieux. (2)


    Datte: 15/01/2018, Catégories: Divers,

    ... pénétré une couille et j’ai senti une douleur me transpercer. Après ce qui m’a semblé être une éternité, j’ai senti que l’aiguille se rétirait. — Encore une — Ouch - gémis-je, attendant la prochaine injection. Elle a percé mon autre couille et l’a ressortie. — Fini - dit-elle gaiement. — Dieu merci - dis-je en regardant mes pauvres couilles. — Ok, lève-toi, je vais te monter ta chambre le temps que l’injection fasse son effet. Elle m’a aidé à me relever et j’ai remonté mon pantalon. Mes couilles étaient tendues contre mes sous-vêtements tandis que je marchais, chaque pas me rappelant la piqûre d’aiguille. Elle me ramena à l’ascenseur et dans une pièce vide à l’étage au-dessus d’Ingrid. Une fois entré, je me suis effondré sur le lit. La douleur dans mes couilles emplissait mon esprit. Nous allons t’apporter quelque chose à manger, mais veille à bien dormir cette nuit. — Oui, oui, dis-je. — Tu ressens quelque chose – demanda-t-elle aussi excitée qu’une écolière. Elle appuya ses mains sur le pied du lit en me fixant, tandis que ses mamelles pendaient sous elle. — Mes couilles me démangent - répondis-je après une pause. Ca a débuté doucement, mais ça remonte maintenant dans mon scrotum. Carole fit un petit bond et gloussa. Ses mamelles rebondissaient avec elle. — Dors sans pantalon cette nuit - dit-elle en se retournant pour partir. — Sinon, tu te réveilleras avec des couilles douloureuses. À mon réveil le lendemain, Carole entra dans la pièce. — Réveille-toi – dit-elle en ...
    ... tirant le drap de lit, m’exposant à l’air frais du matin. — Uhm, oui, elles ont l’air bien maintenant. J’ouvris mes yeux essayant de comprendre ce qu’elle voulait dire quand les événements de la veille revinrent en force. Je me suis assis et j’ai regardé entre mes jambes. Là, reposait le plus grand ensemble de couilles que j’avais jamais vu. Chacune avait à peu près la taille d’un pamplemousse et la peau de mon scrotum était devenue beaucoup plus dure et plus foncée, comme si mes testicules étaient enveloppés de cuir. Même ma bite était beaucoup plus grande. Plus longue qu’avant et presque deux fois plus épaisse. De grosses veines coulaient sur mon membre, lui donnant un aspect puissant. Carole regarda ma bite avec avidité et leva une de mes couilles pour sentir son poids. Elles étaient bien plus sensibles aux caresses. — Oh oui, tu vas être un beau taureau - Elle lâcha ma bite et me prit par la main. — Viens, Ingrid t’attend. Je me suis levé et l’ai suivie. Je devais m’habituer au nouveau poids de mes couilles. Carole enleva ma chemise et la jeta sur le lit. — Tu n’en auras plus besoin - dit-elle, donnant un coup sur mon sexe durcissant. — Bienvenue dans le troupeau mon gars. Elle me conduisit hors de la pièce vers l’ascenseur. Pendant que nous marchions, je ne pouvais pas m’empêcher de remarquer que les autres huvaches tournaient la tête en passant, me détaillant de haut en bas. Cependant, malgré tout ça, je ne pensais qu’à Ingrid qui attendait désespérément dans sa chambre que ...
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