LE MARIN. La parisienne en vacances. (3)
Datte: 15/01/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... couche-toi près de moi ! Les demandes d’une dame sont des ordres. Je me déshabille et je me couche à côté d’elle. Je dors toujours nu depuis des années. Sans me poser la question, je me glisse à ses côtés avant d’éteindre la lumière bien qu’il soit dix-sept heures. Quelle heure peut-il être, il fait nuit lorsque je sens une main sur ma queue. Je fais celui qui continue à dormir pour voir jusqu’à ou elle est capable d’aller. Je me retrouve sucé, léché, elle me prend dans sa bouche jusqu’à ce que je bande au maximum. Je sens les draps bouger, un poids sur mon bas-ventre et rapidement son fourreau qui se laisse glisser le long de ma verge. À partir de ce moment je décide de devenir actif et lui faire voir que les marins sont de bons amants. J’ai eu une initiatrice amie de ma mère du même âge que ma nouvelle maîtresse. Elle m’a appris à respecter les désirs des femmes souvent coincées en amour par une éducation rigoriste leur interdisant de pensée à leur propre personne avant de penser à prendre leur plaisir. Nous nous prenons mutuellement la bouche dans un baiser fougueux. C’est sous moi que je la bascule et en lui écartant les jambes au maximum je plonge, mon sexe bandé au plus fort de mes possibilités au fond de son vagin. Pour la première fois que je lui fais l’amour, je fais cela sans la brusquer dans une position classique du missionnaire. La seule entorse que je fais est lorsque sur mes bras tendus, je lui massacre un peu les seins avec ma bouche. Je dirai, je lui mords ...
... les seins surtout ses tétons qui semblent appréciés et qui la font partir dans une jouissance que les voisins doivent entendre tellement ses cris viennent de la profondeur de son corps. Depuis que je bande pour elle sur le quai de la criée, qu’elle m’a sucée dans sa voiture, que je l’ai vu dénudé devant moi depuis que je l’ai rencontré, je peux difficilement résister à lui envoyer mon sperme qui l’a rempli dans des jets difficiles à métriser. • Merci mon chéri, j’ai beaucoup aimé. Elle se rendort et moi aussi à moitié satisfait d’avoir éjaculé un peu trop vite à mon goût. En arrivant la veille, j’ai demandé que l’on me réveille à 7 heures. Ce doit être l’heure, car le téléphone sonne et qu’à travers les imperfections des volets le jour permettent de voir clair dans la chambre. Je remets, ma tenue et récupère mon bachi, au moment de sortir, je me penche pour l’embrasser. • Attends-moi, je reviens dans quelques minutes, j’aurai peut-être une surprise. Dors bien. Je descends et je vais prendre un café du côté d’Agnès qui est enchanté d’apprendre que tout va bien avec la jolie cliente, mais je la préviens que le chouchen lui est interdit à vie au moins tant que nous sortirons ensemble. J’arrive un quart d’heure d’avance au foyer et à 8 heures, je me présente à l’appel. J’explique à mon second-maître que je retourne en ville ayant des obligations et que j’emmène le petit mousse avec moi afin de lui faire découvrir la ville. Que nous partions toute la journée sans avoir à s’occuper ...