LE MARIN. La parisienne en vacances. (3)
Datte: 15/01/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... l’attire pour lui ouvrir le pont de son pantalon. Nous sommes en tenue blanche d’été et les marinières blanches quittes sont corps pour le laisser en maillot de bain et chaussette. Elle lui descend le slip et découvre une verge qui est très prometteuse, car le diamètre est supérieur au mien. Petit en taille mais bien monté en sexe. Véronique prend la bite d’une main et les bourses de l’autre, elle va pour l’avaler, mais se recule. • Non, commençons par la douche, je veux que, pour une première fois ton sperme entre dans ma chatte et pas dans ma bouche. Toujours muet, Didier la suit lorsqu’elle se lève et qu’elle le conduit dans la salle de bains en le tirant par la queue. J’entends la douche coulée et lorsqu’elle ferme les robinets le bruit de l’eau bougeant dans la baignoire me fait penser qu’ils viennent d’entrer dans l’eau. Je le laisse quelques minutes voulant les mater mais pas trop tôt. • Didier, que tu es gros, oui tu y aies, c’est fait, tu as perdu ton pucelage, tu m’as pénétré et je dois dire que Christian me fait un cadeau pharaonique. Il est temps de m’approcher. Véronique est en position de levrette les bras appuyés sur le rebord de la baignoire. Didier est en elle et lui a empoigné les hanches et la pilonne ardemment. J’arrive au moment où mon amie ...
... profite au maximum de son cadeau, car lorsque je m’approche le pont baisé et la queue à la main, je vois les poile sur son corps s’hérisser. • Oui, chérie, donne-moi là, j’ai tellement attendu pour que tu me la donne à sucer. • Tu aurais fait attention hier au chouchen, il y aurait bien longtemps que tu aurais bu mon sperme depuis hier dans la voiture. Elle est dans l’impossibilité de me répondre la bouche pleine. • Alors Didier cela te plait, tu apprécies. • Si tu as fait un cadeau à Véronique, tu en as fait un à moi aussi. C’est chaud, je sens qu’elle me malaxe avec les muscles de sa chatte qui se resserre autour de ma verge, je voudrais la pilonner encore longtemps mais je crois que. La parole lui manque quelques secondes. • Excuse-moi Véronique, il m’a été impossible de me retenir. Véronique aurait bien du mal à lui répondre, car dans l’orgasme qui la dévaste, elle me mord la verge au point que je manque crier. Cette pression de ses dents a une vertu pour la femelle en chaleur qu’elle est car de longs jets de ma substance spéciale Véronique lui emplie la bouche et coule dans sa gorge. Didier se retire. • Merci madame, vous serez le plus beau souvenir lorsque je serai vieux. • Merci Didier, maman est contente, on a fait cela très bien pour une première fois…