Grève à la SNCF
Datte: 16/01/2018,
Catégories:
fh,
voisins,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
... bon centimètre. La peau me parait toute douce avec des taches de rousseur. Les attaches de son cou et de ses épaules sont très fines, ce qui lui donne un air de poupée toute fragile. Il fait tout à coup très chaud dans la voiture. Sophie passe son soutien-gorge ne prend pas le temps de l’accrocher et enfile son pull. Tout ceci n’a pas duré plus de 30 secondes. Elle se tourne vers moi, me sourit. Elle a le feu aux joues, elle inspire profondément pour masquer son trouble, ses narines se dilatent donnant un air plus coquin à son nez en trompette. Elle me regarde. Je quitte ses yeux pour suivre la route en ayant le sentiment qu’elle aussi a perçu mon émoi. Sa beauté m’impressionne et je ne suis plus du tout sur d’être encore celui qui domine la situation. Elle plonge la main dans son sac et en ressort une pochette Dim en pestant — « Dans ma précipitation je me suis trompée ce n’est pas un collant mais des bas. » Elle pose le sachet sur le tableau de bord et continue de vider son sac. Une jupe et une veste de tailleur gris clair qu’elle dépose sur le siège arrière. Et pour finir une culotte de dentelle blanche assortie à son soutien-gorge qu’elle dépose sur le sachet des bas. L’atmosphère est très détendue, je la sens même joueuse avec un pétillement dans les yeux. Le stress d’être vue des premiers instants s’est complètement évanoui. Je tends le bras et saisis la culotte, elle est douce au toucher, on dirait du papier de soie. Les stops du camion me ramènent à la réalité, je ...
... pose la culotte sur ma cuisse et saisis le volant à deux mains. Nous freinons fort jusqu’à l’arrêt. Nous sommes coincés entre les poids lourds devant, derrière, à notre gauche la remorque de celui qui doublait. Je serre le frein à main et me tourne vers Sophie — « Tu ne pouvais pas espérer mieux pour finir de t’habiller, là, pas d’œil indiscret, que de la ferraille. » Elle me sourit, défait les derniers boutons de son manteau qu’elle ouvre en me fixant. Je n’ose pas baisser les yeux. Sans réellement comprendre ce qui m’arrive, je me mets à bander. Certes la situation est existante mais c’est mon corps qui a réagi. À la respiration suivante, je comprends. C’est cette odeur suave qui me commande. Sophie est en chaleur, je le sens, dans l’espace exigu et surchauffé de la voiture je respire ses phéromones à pleins poumons. Je suis perdu, elle détient les dés. Levant le levier de commande de son siège elle le recule en butée. Elle ôte ses escarpins. Elle étend ses longues jambes comme pour prendre possession de tout l’espace dont elle dispose. Je découvre son ventre plat couvert d’un fin duvet. Son pubis roux et frisé. Il n’y a plus aucune angoisse dans ses gestes, elle est comme dans un cocon dans l’habitacle de la voiture. Sophie attrape le sachet, l’ouvre, déroule les fins bas de nylons non sans les promener sur son ventre qui frémit sous la caresse. Elle sépare les deux bas en roule un entre ses doigts, lève la jambe gauche, introduit son pied dans la gaine de nylon. Le pose sur ...