La culotte - Histoires de Sexe

La culotte

... a l’air très gênée. Elle commence par expliquer qu’elle ne peut pas relever sa robe, mais Jessica intervient : — Moi aussi je suis en robe et j’ai dû montrer mes jambes et mes fesses. Personne ne m’a sauté dessus ! Même si Marc en mourrait d’envie. Ce dernier rougit et sa copine aussi, mais sûrement pas pour les mêmes raisons. La belle brune rajoute : — Allez, montre-nous ta grosse culotte.— Je ne peux pas, répond timidement Isa.— Pourquoi, elle est si vilaine ? renchérit Fleur.— Non… mais je n’en ai pas, avoue ma femme dans un soupir.— Trop facile, je ne te crois pas, lance Pauline. Isa voit qu’elle ne pourra pas y échapper. Elle me jette un regard pour obtenir mon autorisation. Par un mouvement d’épaules, je la lui donne. Pour la soutenir, je m’approche d’elle et c’est moi qui retire entièrement sa robe. Effectivement, elle est nue. Nue au milieu de tous ! Cette situation, qui pourrait être humiliante, m’excite. Il faut dire que je suis très fière de ma femme, elle est vraiment splendide. D’ailleurs, hommes et femmes présents ce soir restent là à l’admirer. Ma philosophie de vie a toujours été « la meilleure défense, c’est l’attaque ». Je reprends donc la parole : — Vous vouliez voir et bien voilà. On vous a toutes vues un petit peu, mais on a gardé le meilleur pour la fin. Chérie, tiens-toi droite et tourne sur toi-même. Laisse-les admirer ton magnifique corps… tes jambes fines et douces… À la parole, j’ajoute le geste par des caresses qui soulignent ma description : — Des ...

... hanches marquées pour souligner sa féminité… un ventre plat… une poitrine en forme de pommes, bien rondes et qui tient dans la main… une nuque à bisou et un visage aux traits fins. Mais vous avez déjà tous vus le plus beau, son cul ! Jessica, qui sait que son cul est aussi son atout, est piquée par cette réplique finale. Elle retire sa robe et vient se mettre à côté de ma femme. — C’est vrai qu’il est beau, mais je pense pouvoir tenir la comparaison, dit-elle en retirant son string.— C’est juste, le tien aussi est beau. Mais celui de ma femme est aussi très ferme. Touche pour vérifier. Isabelle, que ce petit jeu excite, me lance alors un sourire coquin qui m’invite à aller plus loin. De son côté, Jessica ne s’est pas fait prier et caresse avec insistance les fesses de mon épouse. Après quelques minutes elle déclare enfin : — Elles sont vraiment magnifiques, mais les miennes aussi, vas-y, compare. Pas la peine de répéter, j’obéis. Je m’agenouille à hauteur des postérieurs et je caresse avec vigueur l’un et l’autre. Après avoir bien profité de la situation, je déclare avec beaucoup de conviction : — Les deux sont magnifiques, mais je préfère nettement celui de ma femme. Pour terminer, j’embrasse les deux culs et je me relève. J’aperçois alors Fleur qui se caresse machinalement le ventre et Marc qui me regarde avec envie. Pauline, en retrait, semble plus gênée. Dans un éclat de rire, Jessica refuse mon verdict : — Il est de parti pris ! Je demande une deuxième évaluation. Marc, ...