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Un week-end à Paris...
Datte: 17/01/2018, Catégories: fhhh, inconnu, grossexe, Voyeur / Exhib / Nudisme double, fsodo, ecriv_c,
Afin de situer le contexte, je vais vous donner quelques détails qui vous permettront de mieux appréhender ce récit. Mon épouse et moi-même travaillons tous les deux. Nous appartenons à la catégorie des cadres moyens et sommes dans la quarantaine bien tassée. Même si elle s’en défend, Annie a tout de la petite bourgeoise BCBG assez timide et donnant l’impression d’être coincée. Nos enfants sont grands et nous apprécions beaucoup nos week-end à deux qui nous permettent de nous évader. Nous ne sommes pas des fans inconditionnels de la capitale, mais nous aimons de temps à autre passer ces fins de semaine à Paris. C’est à environ deux heures de route de chez nous. Nous y allons la plupart du temps en train et utilisons les transports en commun sur place. Nous avons pris l’habitude de réserver une chambre dans un petit hôtel pas trop cher, près du canal Saint-Martin. De là, nous parcourons la ville. Nous aimons flâner le long de la Seine et le soir venu, profiter des spectacles plus variés que ceux de province. Notre dernière visite remonte à fin mai de cette année et elle sera, sans doute, celle qui restera ancrée dans nos esprits. Mon épouse et moi-même avions prévu d’assister à un spectacle au Moulin Rouge, nous avions réservé une table afin de dîner avant la représentation. Nous étions arrivés à l’hôtel en fin d’après midi. Nous avions eu le temps de nous changer tranquillement avant d’appeler un taxi. Annie, comme à son habitude, était très belle. Elle s’était apprêtée pour ...
... la circonstance et avait mis une robe noire en tissu fin et satiné. J’adorais cette robe, elle était saillante et retombait en drapé symétrique du dessous de ses seins jusqu’en bas. Assez courte, elle lui arrivait à peine à mi-cuisses, elle avait une fâcheuse tendance à remonter, phénomène dû aux élastiques qui formaient le drapé. À vrai dire, je pense que c’est à cause de cette fâcheuse tendance que je l’aimais bien et qu’Annie rechignait à la mettre. Elle n’avait pas mis de soutien-gorge et l’on pouvait voir la pointe des tétons érigée sous l’étoffe. J’avais insisté pour qu’elle ne mette pas de slip, mais en vain, elle avait passé un petit string brésilien par-dessus son porte-jarretelles. Elle avait pris avec elle un petit blouson court en cuir au cas où la fraîcheur tomberait. Le taxi nous déposa à l’entrée du Moulin Rouge. Il y avait une petite file d’attente sur le trottoir. Nous prenions notre place, à la queue et attendions notre tour en avançant petit à petit en discutant. Quinze minutes plus tard, nous étions assis l’un en face de l’autre en bout de table. La salle se remplit rapidement et les places vides autour de nous furent rapidement comblées. Quatre hommes « costard cravate » s’installèrent à côté de nous. Ils y avaient deux personnes de type européen et deux autres de type asiatique. Ils n’avaient pas l’air très gais. Mais qu’importe, l’objet de notre visite était le spectacle et nous étions plutôt bien placés. Ce qui était le plus gênant venait du fait que ...