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Un week-end à Paris...
Datte: 17/01/2018, Catégories: fhhh, inconnu, grossexe, Voyeur / Exhib / Nudisme double, fsodo, ecriv_c,
... pas, un peu de piment dans notre vie fut-il un peu coquin, était le bienvenu et j’aimais que les autres hommes désirent ma femme et qu’elle les allume un peu et que cela s’arrête là bien entendu. Pascal changea de place avec Jean et il nous conduisit à l’extrémité de la rue Saint-Denis. Il gara sa voiture et nous commençâmes à déambuler et à regarder ce qu’il y avait à voir. Nos Japonais piaffaient dans leur langue lorsqu’ils apercevaient les attributs de ces dames. Je tenais mon épouse par la taille et nous suivions la petite troupe qui déambulait quelques mètres devant nous, s’arrêtant ça et là au gré du goût de nos asiatiques pour ces jeunes femmes dénudées. La situation me plaisait de plus en plus et ne me laissait pas indifférent, à tel point que je me laissai aller à peloter le cul d’Annie en pleine rue. La situation devait l’émoustiller aussi, car elle se laissa faire sans même protester. J’avais remonté la robe jusqu’au bas des fesses et mes doigts touchaient sa peau à la commissure de la fesse et de la cuisse. Les personnes qui nous suivaient devaient apercevoir le début de ses fesses mais je relativisai notre exhibition en me disant qu’ils devaient surtout regarder les femmes largement plus dénudées sur le long des trottoirs. — Tu es fou, me dit mon épouse sans essayer d’enlever ma main. Fou, je ne sais pas, excité, il n’y avait pas de doute. Conforté dans mon action par son manque de réaction, je tenais maintenant la fesse nue à pleine main et Annie ne disait ...
... toujours rien. Elle devait avoir le cul à l’air maintenant uniquement fendu par le string brésilien qu’elle portait. Nous marchions tranquillement quand je sentis un bras s’appuyer sur le mien en le croisant et une main vint attraper la fesse libre. Annie sursauta et essaya de baisser sa robe en signe de réprobation, mais en vain. Ma main et celle de l’inconnu ne lâchèrent pas prise. — Reste calme, on n’ira pas plus loin, dis-je à mon épouse.— Votre femme ?, me dit l’inconnu. J’acquiesçais en reprécisant la volonté d’Annie de ne pas aller plus loin que le tripotage. L’homme confirma et jura les grands dieux qu’il avait bien compris et félicita Annie sur son cul et sur le reste. Il tenait plus du mac que du gentleman mais je m’en moquais sincèrement. Les faibles protestations d’Annie avaient d’ailleurs été de courte durée et certainement de pure forme, car elle se laissait maintenant tripoter le cul par deux mains différentes sans rechigner et en gloussant même de plaisir. À une intersection l’homme bifurqua, nous entraînant dans une étroite ruelle. Il se plaça devant elle, nous obligeant à nous arrêter, je me reculais un peu lui laissant le champ libre. Il l’adossa contre le mur, releva franchement la robe et lui écarta le string. Il lui passa une main entre les cuisses et lui pelota le minou. Puis gêné par le petit bout de tissu, il s’accroupit, attrapa le string à deux mains et le fit glisser le long des jambes qu’il souleva l’une après l’autre afin de l’enlever et de le glisser ...