-
Aventures à Pattaya - 1
Datte: 17/01/2018, Catégories: fhh, asie, cadeau, Partouze / Groupe init,
Le soleil se couchait sur la baie de Pattaya et le ciel s’embrasait au-dessus de l’île de Koh Larn. J’étais heureux d’habiter ce lieu béni de dieux. Ici, il n’y avait ni tsunami, ni cyclone mais uniquement du sexe et du soleil. Je m’appelle Jean-François, mais tout le monde me surnomme Jeff. Malgré mes cinquante-cinq ans, je suis en excellente condition physique et mes yeux gris noisette font encore tourner quelques têtes. Je suis marié avec Mo-Laï, une superbe Sino-Thaï de quinze ans ma cadette. Aujourd’hui, c’est justement son anniversaire et, pour ses quarante ans, je lui ai promis une grande surprise. Ma petite femme a une plastique parfaite. À travers son haut en soie rouge, je peux apercevoir ses seins galbés et je devine qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. 36 C, c’est la taille de sa poitrine surmontée par deux larges aréoles brunes et des tétons érectiles à la moindre excitation. Elle possède un ventre plat musclé par de nombreuses séances d’abdominaux. Côté pile, ses fesses nerveuses cachent une merveilleuse rondelle marron clair que j’ai plaisir à dilater avec mon index… J’adore la façon dont elle se cambre quand elle chausse ses talons aiguilles pour se donner de la hauteur. Ses cuisses partiellement découvertes sous une mini-jupe en cuir noir sont athlétiques et comme sculptées dans un bloc de marbre. Elle a surpris mon regard admiratif et ses yeux de biche sous ses longs cils se sont faits interrogateurs. Ses cheveux noirs coupés courts à la chinoise lui ...
... donnent l’aspect d’une jeune fille tout juste sortie de l’adolescence. Je l’aime comme un fou et je lui souris pour qu’elle patiente encore quelques instants. Le discret carillon de la sonnette d’entrée me donne raison : la surprise que je destine à Mo-Laï est bien à l’heure. Je m’empresse d’aller ouvrir et un homme d’une trentaine d’années me gratifie d’une tonique poignée de mains. Ma femme a reconnu tout de suite le locataire du studio que nous louons aux touristes de passage. « Tiens, mais c’est Patrick ! » Je commence à comprendre pourquoi, depuis quelques semaines, mon mari n’arrête pas de me conseiller de profiter de la vie. Je croyais que son andropause le travaillait et qu’il voulait avoir une ou deux aventures avec des bar ladies pour se rassurer sur sa virilité, mais j’étais loin de me douter que c’était à moi qu’il pensait. C’est vrai que d’avoir quarante ans marque un tournant dans la vie d’une femme. Personne ne me donne mon âge, et pourtant je sens que quelque chose est en train de changer au plus profond de moi-même, et la disparition prématurée de mon frère aîné quelques mois auparavant m’a confirmé que je n’étais pas éternelle. Il n’y a plus de doute dans mon esprit : si mon merveilleux mari me donne l’occasion d’assouvir mes fantasmes, je le ferai sans hésitation. Je me souviens lui avoir confié que Patrick n’était pas mal et que je ne comprenais pas ce que venait faire à Pattaya un homme aussi séduisant alors qu’il pouvait tomber toutes les filles qu’il voulait ...