1. Aventures à Pattaya - 1


    Datte: 17/01/2018, Catégories: fhh, asie, cadeau, Partouze / Groupe init,

    ... J’ai senti sa main gauche qui s’infiltrait sous mon haut en soie et qui venait titiller mon téton. Ce dernier s’est durci comme du béton et j’ai laissé échapper un petit gémissement. J’ai fermé les yeux et j’ai entendu une petite voix qui murmurait dans mon oreille : « Tu ne peux pas savoir comment j’ai envie de toi ! » Un tel aveu venant d’un homme de dix ans plus jeune m’a embrasée. Sans hésiter, je l’ai attiré vers moi et je l’ai embrassé à pleine bouche. Le couple qui se trémousse devant moi a oublié jusqu’à ma présence. Devrais-je ressentir du dépit ? En théorie, oui ; mais en pratique, je suis content de voir ma femme heureuse. J’ai totalement confiance en elle et je sais qu’elle ne m’abandonnera pas pour une aventure de passage. Sans complexe, je déboutonne ma braguette et je commence à me masturber béatement. Patrick est passé à la vitesse supérieure et ses doigts se sont glissés sous la mini-jupe pour s’infiltrer dans le vagin mouillé de Mo-Laï en provoquant un râle de sa part. Arc-boutée sur la main qui lui ramone son intimité, elle a soudain un premier orgasme, très violent.« L’enfoiré, il a su lui trouver son point G en quelques instants alors que j’avais toujours pensé que c’était un mythe ! » Devant moi, ma femme, repue, s’est laissé glisser sur les carreaux du sol et s’est agenouillé devant son amant. Je ne comprends plus ce qui m’arrive. Cet inconnu a réussi à trouver mon point G alors que le pauvre Jeff a vainement essayé pendant des années. Je suis ...
    ... persuadée que la technique n’est pas la seule cause de ce succès. Je dois être une vraie salope, et le fait de voir mon mari me regarder dans mes ébats coquins a dû faire monter mon niveau d’excitation jusqu’au paroxysme. Au lieu de me désoler, cette constatation m’excite encore plus. Je me sens encore plus chienne et j’aspire avec plaisir le membre du beau Patrick. Il est plus gros et plus long que celui de Jeff d’un tiers ; j’ai hâte de le sentir défoncer mon petit con brûlant. Notre invité a déshabillé Mo-Laï en un tour de main. Le haut en soie a décrit dans les airs une gracieuse arabesque avant de se poser en déséquilibre sur le dossier d’une chaise du salon, suivi de peu par la mini-jupe de cuir. Le string, roulé en boule, est venu atterrir à côté de moi dans une ultime provocation. Je n’ai pas pu m’empêcher de le porter devant mes narines et d’aspirer goulûment les sécrétions odorantes qui s’en dégageaient. Debout maintenant, entièrement nue, Mo-Laï s’est abandonnée lascivement dans les bras de son cavalier tout en en me faisant face. J’ai essayé de croiser son regard, mais elle n’était plus sur terre, les yeux voilés par le désir. Passant sous ses aisselles, Patrick est venu écarter les grandes lèvres de son sexe rasé en découvrant sans complexe une grotte rose, humide, impatiente d’accueillir son complément naturel. Je n’en pouvais plus et une goutte translucide d’origine prostatique est venue sourdre de mon urètre. Je n’avais pas envie d’éjaculer si tôt dans la soirée ; ...
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