LA MAISON DE RETRAITE. (1/1)
Datte: 18/01/2018,
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Dans la zone rouge,
... dans des lieux de plus en plus crades. Je voyais ma mère descendre, elle aussi à mesure que nous descendions dans l’échelle des logements. En plus, elle s’était mise à la boisson en me traitait de trainer, car c’était de ma faute si mon père s’était suicidé. Le jour où elle m’a dit cela la première fois, j’ai été horrifié, car j’avais toujours en mémoire son retour vers le bon Dieu. • Josiane, je sens que tu arrive au point crucial où ta vie a entièrement basculé. Aujourd’hui, il est déjà cinq heures et les personnes chargées de votre petit déjeuner vont arriver et vont se poser des questions si je suis absent du poste de garde. Peux-tu me rendre la main ? Le tutoiement, le fait qu’elle m’appelle Christophe et moi Josiane se sont faits naturellement comme ma main qui a fini sur sa poitrine serrée entre les siennes naturellement. • Je te propose quelque chose, j’habite à deux pas sur les bords du Doubs à midi je viens te chercher où je t’aurais préparé un bon repas que nous prendrons dans mon petit jardin devant ma maison. • Tu auras assez dormi. • Quatre heures me suffiront, et puis tu m’aideras à faire la sieste en continuant l’histoire de ta vie. • Merci, ce sera la première fois que j’irais manger au-dehors de l’établissement. D’accord vient me chercher. • Viens que je te fasse une bise, il y a si longtemps qu’un beau gosse veut m’inviter chez lui. À douze heures tapantes au clocher de l’église, je suis devant la porte de son établissement et Josiane comme toute jolie ...
... femme qui se respecte se fait attendre une dizaine de minutes. Sa silhouette élancée n’a d’égale que le temps qu’elle a dû passer à se pomponner, car j’ai l’impression qu’une midinette entre dans ma voiture. Cinq cents mètres et nous sommes arrivés. Gentleman, je l’aide à descendre. Sur ma terrasse d’où nous voyons passer la rivière coulant très lentement le niveau de l’eau étant très bas à cause de la sécheresse, sous le store, nous déjeunons de ce que j’ai préparé avec amour pour elle, des pâtes. • Il fait trop chaud dehors, on peut rentrer, je me sens un peu mal. • Viens sur mon lit, la pièce est fraîche et tu vas pouvoir t’allonger. Elle me suit et je l’installe pour qu’elle récupère. Elle ouvre son chemisier et ses petits seins apparaissent, mais je laisse, mes mains bien posées sur mes genoux, m’étant assis à ses côtés. • Cela va mieux, c’est mon cœur qui m’a encore joué des tours, c’est pour cela que j’ai quitté Paris pour venir ici afin de trouver l’air pur. Ou j’en étais cette nuit. Oui. • J’avais appris que mon père s’était suicidé après les traces de sperme laissées sur la moquette que je lui avais fait voir et que je lui avais d’y que maman se faisait enculer par le voisin. Maman est tombé très bas et au fure et à mesure qu’elle buvait, ses amants toujours plus nombreux devenaient de plus en plus ignobles. C’est comme cela qu’elle a amené Adamo bel italien qui en plus de baiser, maman, m’a pris mon pucelage dans ma 18e année. Trois jours plus tard il m’emmenait en ...