1. Mon fils, cet étalon. (1)


    Datte: 18/06/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    Bonjour, je me prénomme Christine, belle grande de femme de 1m75 et de 45 ans, brune, les yeux bleus, unepoitrine avenante (90C), un joli cul. Je suis divorcée depuis cinq ans maintenant. Je vis seule, enfin, si j’oublie mon fils. Un geek, comme on dit, de 18 ans à peine révolus. Je travaille dans le milieu bancaire d’une grande banque phocéenne. Mon petit appartement est cossu. Il setrouve dans une résidence de standing. On n’est pas là pour parler de moi, mais de mon fils Jérôme. Il est grand, 1m80, yeux marron, ses cheveux châtain clair sont constamment ébouriffés, et il est maigre. Mais quand je dis maigre, c’est maigre. Il doit peser 65 kilos tout mouillé et habillé. Je ne sais pas de qui il tient cela ni de moi ni de son père. Il est toujours plongé dans son ordinateur, enfermé dans sa chambre. Il m’exaspère. Pas de copain et encore moins de copine. À chaque fois que j’aborde le sujet, il se referme sur lui-même. J’en ai parlé à Coralie, une collègue de bureau et amie. — Dès qu’il rentre de la FAC, lui avais-je dit, le même cérémonial. Un bonjour m’man, un petit bisou et le voilà parti dans sa chambre. Il ne descend que pour venir manger et hors de question de m’aider dans les tâches ménagères, non, trop compliqué pour lui. Il remonte dans sa chambre. Il m’énerve. — Tu as essayé de lui parler. M’avait-elle répondu. — Ouf, même pas la peine. Et le matin, je suis partie avant lui. — Coupe le courant de sa chambre et attends-le dans le salon. Si tu veux, Pierre (son ...
    ... époux) pourra t’aider. Cette idée avait germé dans ma tête. Pierre vient de partir. C’est fait, ce soir j’aurai une discussion avec mon fils. Comme prévu, il rentre, jette son sac et m’embrasse sur la joue, puis part dans sa chambre. Sa réaction ne se fait pas attendre. Il redescend comme une furie. — Tu n’as pas payé EDF ? Me demande-t-il, paniqué. — Si, mais je veux avoir une discussion avec toi, lui dis-je d’un ton sec, Assieds-toi ! Comme un lapin prit dans les feux d’une voiture, il reste coi. — ASSIS ! ! ! Il va s’assoir en titubant, manquant de choir, ce qui me fait rire. — Qu’est-ce qu’il y a, m’man ? — Écoute-moi bien. Tu es constamment sur tonputain d’ordi. Tu ne t’occupes pas de moi, tu rentres et tu files dans ta chambre. J’EN AI MARRE, MARRE, MARRE... Lui dis-je les larmes aux yeux. Tu n’amènes pas de copain, pas de copine et tu as eu 18 ans. Parle-moi ! ! ! BORDEL DE MERDE. J’en peux plus. J’aimerais t’entendre rire, déconner avec tes amis, te voir flirter... Tu me comprends au moins... J’ai l’impression de n’être pas une bonne mère, d’être juste bonne à te servir, mais là, il faut que ça s’arrête. mgzmxxjr Il pleure. Suis-je allé trop loin ? Il se lève et s’en va s’enfermer dans sa chambre. Le lendemain, je me réveille hagarde. Il est déjà parti. J’en parle à Coralie qui me dit de remettre le courant dans sa chambre et de voir sa réaction. Il a peut-être eu un électrochoc, dit-elle en éclatant de rire. Je suis chez moi à attendre Jérôme. Je suis inquiète de sa ...
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