1. Mon fils, cet étalon. (1)


    Datte: 18/06/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... réaction. Quand j’entends la clé dans la serrure, je me crispe. Il est là et comme à son habitude, il jette son sac et monte dans sa chambre, mais il redescend après s’être changé. Il met la table et descend à la cave. Il remonte une bouteille de vin qu’a laissée son père. — On fête quelque chose ? Lui demandais-je. — Non, mais je dois te parler... Après une bonne ration de lasagnes. Je saute de joie. Mon fils m’a adressé la parole. Je me lève et je vais dans la cuisine préparer son plat favori. On mange, on boit. Moi qui ne tiens pas l’alcool... Il part chercher deux cafés. Je n’y crois pas, je rêve. Mais mon rêve s’écroule quand il me dit au revoir, il monte dans sa chambre. Déçu, je monte aussi me coucher, on est vendredi, demain repos, donc la vaisselle attendra demain. Je passe devant la salle de bain entre-ouverte qui est embrumée. Je glisse un œil protecteur. Il est de face sous la douche en train de se savonner les cheveux, les yeux fermés. Mon regard descend sur son torse imberbe et plat. On dirait une jeune fille prépubère. Je descends encore le regard sur sa toison pubienne et là, le choc. Mes yeux se bloquent sur uneverge immense. Jamais vu ça, un gourdin immense qui pend entre les jambes de mon fils. Il arrive presque qu’à mi-cuisse et d’une largeur impressionnante. Une bite de cheval, mon fils est monté comme un étalon. Il se retourne dos à moi et je vois l’immense bite entre ses cuisses. Il nebande pas et ...
    ... j’imagine ce que ça doit être une fois gorgé de sang. Je me sauve dans ma chambre. Je pense à ce que j’ai vu. Incroyable, j’ai un étalon sous mon toit, mais c’est mon fils. Je m’endors des rêves plein la tête. Le lendemain, mon réveil est des plus surprenants. Une odeur de café et de viennoiseries vient me taquiner les narines. Je me lève, passe mon peignoir et descends. Quelle n’est pas ma surprise de voir mon petit homme en train de se démener avec la cafetière et de sortir les croissants du four. Je ne peux m’empêcher de le détailler. Certes, il est grand, pas baraqué comme son géniteur et totalement imberbe, contrairement à son papa qui était un véritable ours. Grand aussi, quand il me prenait dans ses bras puissants, je me sentais en sécurité. Il me voit. Il me sourit. On boit notre café en dégustant les croissants. — Que me vaut cette gentille attention ? Il s’empourpre. Il ne dit rien et plonge le nez dans son bol de café. Je le regarde avec un autre œil. Lui, cet enfant timide qui ne se confrontait jamais à l’autorité paternelle, lui qui me collait aux jupons, qu’il avait bien changé. Il se lève et prend nos bols. Il fait la vaisselle. MIRACLE ! ! ! Oui, il a bel et bien changé. Je m’en vais prendre une douche et après m’avoir essuyée, je ne sais pourquoi, je m’habille sexy. Pas provocante, non, juste sexy. Il me croise dans le couloir et me regarde avec étonnement. — Tu sors ? — Oui, il faut que j’aille chez Coralie. 
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