Au fond du jardin
Datte: 19/01/2018,
Catégories:
f,
ff,
fbi,
voisins,
jardin,
Masturbation
Oral
init,
C’était une fin d’après-midi de juillet. Depuis quelques jours, la canicule régnait sur la ville, et la chaleur lourde et pesante ne donnait pas envie de bouger ou d’entreprendre des choses. La jeune femme – nous l’appellerons Angèle – s’était installée sur un transat au fond du jardin à l’ombre du grand saule. Elle tenait, posé sur ses genoux, un livre, mais elle n’avait lu que quelques pages, trop accablée de chaleur pour pouvoir poursuivre sa lecture. Si elle avait su, elle serait restée à l’intérieur de la maison aux volets clos. Là au moins, dans la pénombre, une fraîcheur relative rendait l’atmosphère supportable. Mais depuis trois jours qu ’elle était en vacances, elle avait vécu presque tout le temps à l’intérieur, ne sortant qu’en fin de journée lorsque le soleil se faisait moins oppressant. Aujourd’hui, elle avait décidé de braver la canicule pour profiter de son petit jardin. Bien que situé en ville, son jardin lui donnait l’impression d’être seule, loin de tout le monde. Une haie épaisse l’entourait et les massifs de fleurs et les arbres la protégeaient des regards indiscrets. De plus, nombre de ses voisins étaient déjà partis à la mer ou à la montagne. Aucun bruit ne venait donc déranger son repos. Même les chiens qui d’habitude aboyaient semblaient terrassés par la chaleur. Tout à coup, elle lâcha son livre qui tomba dans l’herbe. Elle avait dû s’assoupir un instant. Son esprit se trouvait à mi-chemin entre le rêve et la réalité. Elle referma les yeux, ...
... désirant revenir dans son rêve au moment où il avait été interrompu. Un homme – elle n’arrivait pas à l’identifier même s’il lui semblait familier – était en train de lui faire l’amour. Dans la réalité, elle n’avait pas fait l’amour depuis trois mois, depuis sa rupture orageuse d’avec son amant. Elle n’en éprouvait d’ailleurs pas le besoin, même si de temps en temps, il lui arrivait de se caresser le soir dans son lit. Le souvenir de son rêve provoqua en elle la montée du désir. En fait, elle était encore dans son rêve, sinon elle n’aurait pas glissé sa main droite sous son short, sous son slip. Elle n’aurait pas commencé à caresser son clitoris lentement en fermant les yeux. Son autre main ne se serait pas glissée sous son tee-shirt pour aller masser ses seins, libres de toutes entraves. Elle n’aurait pas accéléré le mouvement de ses doigts sur son bouton intime, elle n’aurait pas introduit son majeur dans son vagin déjà tout humide, le faisant aller et venir de plus en plus vite, de plus en plus profond. Mais tout cela était bien réel, et son entrejambe détrempée le lui prouvait :elle s’était bien masturbée au fond de son jardin par une chaude journée d’été, sans se soucier du monde qui l ’entourait. Un peu honteuse, elle ouvrit les yeux. C’est à ce moment-là qu’elle la vit. Charlotte, la fille de la voisine, se tenait à quelques pas d’elle. Elle venait d’avoir vingt ans et Angèle la croyait partie avec ses parents. Elle était vêtue d’une fine robe d’été qui laissait deviner une ...