1. Au fond du jardin


    Datte: 19/01/2018, Catégories: f, ff, fbi, voisins, jardin, Masturbation Oral init,

    ... l’accompagna jusqu’à sa propre épaule. Charlotte, comme hypnotisée, commença à caresser le bras d’Angèle. Elles étaient maintenant très proches l’une de l’autre. Leurs joues se frôlaient et leur respiration, dans un même rythme, devenait plus rapide. Maintenant le silence était revenu, mais ce n’était plus le silence pesant de tout à l’heure. Elles ne parlaient plus, simplement pour ne pas rompre le charme fragile et éphémère qui s’était installé. Leurs lèvres se touchèrent, leurs langues se rencontrèrent. Angèle, toujours plus hardie, glissa sa main sous la robe de Charlotte et remonta jusqu’à ses seins. De son autre main, elle dégrafa les boutons de la robe de façon à pouvoir sucer les bouts des seins de Charlotte. La caresse fit frémir Charlotte. Angèle avait maintenant perdu toutes ses inhibitions. La ligne rouge avait été franchie et elle ne pouvait plus revenir en arrière. Lentement, elle déshabilla Charlotte et la fit se coucher sur le transat. Son corps de jeune femme était bronzé, ce qui contrastait avec la blancheur de ses seins et de son bas-ventre. Angèle se pencha vers la toison claire et bien fournie qui l’attirait inexorablement. Lorsque ses lèvres entrèrent en contact avec les lèvres intimes de Charlotte, Angèle sentit tout le corps de la jeune fille se crisper. Mais ce moment d’hésitation passé, Charlotte se détendit, ouvrant de plus en plus ses cuisses, et permettant ainsi à Angèle de continuer son exploration. Avec sa langue, elle excitait le clitoris de ...
    ... Charlotte qui se finit par se durcir. La jeune fille qui laissait son intimité se faire fouiller ne fut pas longue à jouir dans des gémissements contenus. Elle déversa dans la bouche d’Angèle un flot de jus amer que celle-ci goûta pour la première fois de sa vie avec délectation. Maintenant, Angèle aurait voulu à son tour trouver le plaisir sous les caresses d’une femme. Voyant Charlotte toujours allongée sur le dos qui ne semblait pas prête à prendre les initiatives, Angèle se dévêtit elle-même. Sa poitrine était moins imposante que celle de Charlotte mais ses seins étaient fermes et sous l’excitation, ses tétons se dressaient fièrement. Elle aurait voulu qu’on les lui suce, qu’on les lui mordille jusqu’à la limite de la douleur. Mais elle sentait bien que Charlotte n’était pas prête à ça. Angèle enjamba Charlotte de manière que chacune ait le sexe de l’autre sous les yeux. Celui de Charlotte qui venait de connaître le plaisir était détrempé et Angèle pouvait en renifler les odeurs capiteuses qui s’en exhalaient à travers les poils mouillés. Celui d’Angèle, au contraire, était pratiquement dépourvu de pilosité. En effet, son dernier amant aimait les chattes épilées et Angèle avait gardé l’habitude de tailler très courts sa toison. Son sexe en paraissait encore plus offert. Malgré cela, Charlotte ne semblait pas décidée à franchir les quelques centimètres qui séparaient sa bouche du sexe pourtant si proche. Alors, presque autoritairement, Angèle demande : « Vas-y, lèche-moi ...