1. Un supplice nécessaire


    Datte: 07/07/2017, Catégories: f, fh, couple, extracon, inconnu, train, douche, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation jeu, init,

    ... aigu lorsque sa main entre en contact avec son clitoris tendu. Elle tente de repousser la main qui la maintient, sans succès. Bernard entame alors une série de pressions associées de légers basculements d’avant en arrière. En un mot, il la masturbe indirectement. Mais c’est quand même sa propre main qui lui procure ces sensations qui la transpercent. Elle se sent parcourue de courant, elle voudrait se soustraire à ces tiraillements intérieurs qui la déchirent. Mais la main de Bernard se fait insistante. Il a maintenant tiré entièrement la main de Diane et se sert de ses doigts à elle pour frotter son clitoris. Elle crie, elle se débat, elle n’en peut plus. Il lui lâche la main. Elle le regarde, reconnaissante. Puis son regard bascule, elle se rend compte du manque qui la tenaille à présent qu’aucune main n’est là pour la guider dans ses mouvements. Elle reste immobile, un doigt posé sur son clitoris, le corps entier tendu dans un cri de souffrance, un cri de jouissance, un gémissement de manque. — Continue toute seule, lui chuchote Bernard à l’oreille. Pendant ce temps, Alexandre discute toujours avec la nouvelle venue, qui s’avère être Catie en personne. Il a d’abord cru qu’elle venait comme sa maîtresse qui voudrait le relancer jusque chez lui. Mais il a vite compris la situation. Elle lui a avoué presque en pleurant qu’elle a un amant, en dehors de lui, et qu’elle l’a suivi jusqu’ici. Elle a alors compris que Diane est la femme de l’homme qu’elle aime. Elle supplie ...
    ... maintenant l’homme devant elle de ne pas la dénoncer à Bernard. Mais pourquoi alors est-elle venue le voir ici, dans sa maison, alors qu’elle sait que les deux hommes étaient présents ? Elle finit par mettre en avant son désir de vengeance, en échange de laquelle elle serait la seule amante d’Alexandre. Elle veut montrer à ce finalement vulgaire détective privé qu’il ne fallait pas jouer avec elle. — Où est-il que je lui dise ma manière de penser ? demande-t-elle.— Ils sont dans le salon, répond-il simplement.— Comment ça "ils" ? Qu’est-ce qu’ils font ensemble ? Et elle se précipite vers la porte la plus proche, qu’elle pense avec raison être le salon, sans qu’il puisse la retenir. Elle surprend alors Diane à moitié dénudée, un doigt pointé sur son petit bouton. Et Bernard, penchée vers elle, en train de lui parler à l’oreille. Ils ne l’ont pas vue. Elle peut donc observer Bernard qui se penche maintenant sur la bouche de Diane et l’embrasse passionnément, tandis que son doigt continue à s’activer. Alexandre n’est pas trop surpris de la tournure des évènements. Dès le coup de téléphone de Bernard dans le train, il a compris que Catie mène double jeu. Il suit de près sa maîtresse. Il peut donc lui aussi voir sa femme qui, pour la première fois de sa vie, ose se donner du plaisir ainsi. Il voit aussi les agissements de Bernard, mais il ne fait rien pour l’arrêter. Catie saura s’en charger. Pour l’instant, il veut simplement admirer la beauté de la situation, la vision de sa femme ...