1. Ah, ces garnements !


    Datte: 19/01/2018, Catégories: fh, hplusag, telnet, Masturbation Oral

    ... mais il a su résister à la tentation de trop la mater. Il est d’ailleurs surpris, car, à ce qu’il en avait jugé, elle était jeune fille timide, réservée et redoutant de se faire remarquer. Ce devait être la chaleur qui l’avait incitée à ne point voiler ses rondeurs et laisser le soutien-gorge dans la valise. Lorsqu’elle entend, assourdie, la voix de Bernard, elle se dit qu’il doit téléphoner à sa femme. Elle ne résiste pas à tentation, ouvre la porte et comme un sioux, s’approche de celle de Bernard pour essayer de surprendre ce qui se dit. Le début de la conversation présente peu d’intérêt. Ils se donnent des nouvelles de leur journée. Aurélie regagne sa chambre. Les mêmes réflexions que la veille lui viennent. Tout cela lui a un peu chauffé les sangs. Alors comme Bernadette, elle se met à s’astiquer le briquet. Elle devrait le faire plus souvent, cela fait bien fou. Mais il faut bien avouer que depuis sa rupture d’avec Mathieu et l’éphémère successeur qu’elle avait plus pris pour faire chier ledit Mathieu qu’autre chose, elle n’avait pas trop le cœur à la gaudriole. Mais là, elle y met de l’ardeur. Après s’être caressée, elle n’hésite pas à s’enfoncer deux doigts dans la chatte et à bien touiller. C’est apaisée qu’elle s’endort. Le jeudi, après le départ de Bernard au travail, elle part chez sa tante pour déjeuner avec la famille qui est de retour. Elle a mis sa nouvelle robe, mais s’est abstenue de la porter sans soutien-gorge. Elle a eu raison, déjà son père a fait une ...
    ... petite réflexion sur le décolleté. Si ses parents préfèrent rester à se reposer, elle entraîne ses sœurs vers le lac des Minimes que lui a fait découvrir Bernard à vélo. Le soir, elle dîne avec la famille avant de rentrer chez Bernard. Après être descendue à Château de Vincennes, elle décide de rentrer à pied plutôt que d’attendre le bus. Alors qu’elle suit une allée, elle sent un coup dans son dos. Ce sont deux gamins qui s’enfuient en riant après lui avoir lâché une branche dans le dos. Elle les engueule, mais ne les poursuit pas. Arrivée à destination, elle embrasse Bernard, passe dans sa chambre pour prendre sa chemise de nuit et va pour se doucher. Il l’arrête en lui demandant : — Que t’es-tu fait au dos ?— Je sais pas.— Mais tu es griffée, tu saignes. Elle lui raconte l’incident avec les deux garnements. — Il vaudrait mieux désinfecter.— Oui. Bon, je vais prendre ma douche et si ça ne vous ennuie pas, vous pourriez le faire ? Car j’aurais du mal vu où c’est placé.— Bien sûr. Elle passe sous la douche et enfile un peignoir : — Vous pouvez venir.— J’arrive. Bernard entre, fouille dans l’armoire à pharmacie et se lave les mains en disant : — Allons dans le salon, on sera plus à l’aise. Elle obtempère. Il l’y rejoint et la fait asseoir sur un tabouret qu’il est passé prendre dans la cuisine. Elle fait glisser le peignoir de ses épaules pour dégager le haut de son dos. Il commence à tamponner délicatement les zébrures avec un désinfectant. Il annonce ensuite : — Voilà, rien de ...
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