Ah, ces garnements !
Datte: 19/01/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
telnet,
Masturbation
Oral
... bien grave ! Je vais mettre un peu de Cicatryl. Aurélie trouve qu’il a les mains douces, qu’il est très délicat, cela lui suggère une idée… — Et voilà, c’est fini, annonce-t-il— Merci. On dirait que vous avez fait ça toute votre vie.— J’ai suivi quelques cours de secourisme en mon jeune temps et, quand on a des enfants…— Je peux vous demander autre chose ?— Si c’est dans mes cordes…— J’ai l’impression de sentir des grosseurs quand je me tâte la poitrine, pourriez-vous me donner votre avis.— Euh… Bernard s’attendait à tout sauf à ça. Elle se retourne vers lui en se dégageant du haut du peignoir. Elle se touche les seins en disant : — Vous voyez, j’ai l’impression que j’en ai là, là, et là et peut-être là aussi.— Un médecin serait mieux indiqué, ou alors tes sœurs.— Mes sœurs, elles se moqueraient de moi en disant que je me fais encore des idées. S’il vous plaît, comme ça, je saurais si je dois aller prendre rendez-vous avec mon gynéco. Et si vous ne sentez rien, je serai rassurée. Votre femme a raconté un jour à Tatie, alors que j’étais là, pendant que vous étiez à bricoler avec Tonton, que vous lui faisiez ces palpations. C’est vrai que Bernadette, qui a eu des kystes au sein gauche, lui a plusieurs fois demandé de faire des palpations. Mais bon, c’était sa femme ! Bernard se sent assez mal à l’aise d’aller manipuler les nichons de la demoiselle, mais elle a un regard si candide qu’il se décide. Il se met au travail et palpe avec beaucoup de sérieux et d’attention. Cela dure ...
... plusieurs minutes. — Je ne sens rien.— Vous êtes sûr ? Même pas là ? Elle montre un endroit sous son sein droit. Il tâte l’endroit indiqué. — Non rien. Sois rassurée, mais si tu as un doute, va voir ton toubib, c’est plus sûr.— Merci. Bernard n’a pu s’empêcher d’admirer les seins d’Aurélie. Ils sont de la taille d’un beau pamplemousse, bien fermes, ils se tiennent admirablement et la peau en est soyeuse. Il connaît l’importance de ces palpations mammaires et l’appréhension que peut entraîner un doute. Il a connu ça avec sa femme, qui par deux fois, a dû passer par la case opération pour se faire retirer des grosseurs qui heureusement n’étaient pas malignes. Quand il lui racontera ça, elle aura du mal à le croire et le mettra probablement en boîte. La demoiselle est, quant à elle, fort troublée par cet exercice. Beaucoup plus troublée qu’elle ne l’aurait supposé. D’ailleurs, elle ne l’imaginait même pas. Durant l’examen, ses tétons ont durci et quand elle a demandé à Bernard d’insister sur son sein droit, il n’y avait pas que l’inquiétude qui la motivait : elle voulait que cela dure encore un peu. Elle réajuste son peignoir. — Je peux vous demander autre chose encore ?— Bien sûr. Aurélie reste silencieuse, presque effrayée, tant par l’idée qui lui a traversé l’esprit, que par sa propre audace à songer à la suivre. Elle sent le regard interrogatif de Bernard qu’elle n’ose regarder. Va pour renoncer mais finalement se lance : — En prenant ma douche tout à l’heure, j’ai senti que ...