Première prise en mains
Datte: 19/01/2018,
Catégories:
fh,
Inceste / Tabou
vacances,
forêt,
campagne,
volupté,
intermast,
init,
Quelques jours après, Martine me propose un tour en vélo. — Soyez bien là à midi, lance ma tante.— Ne t’inquiète pas, maman ! Nous roulons quelques minutes, sans un mot. — Où va-t-on ?— Tu verras, répond Sophie : fais-moi confiance.— Je te suis. Au début, Martine roule sagement, assise sur sa jupe, comme il sied à une jeune fille bien élevée. Au premier virage, elle se soulève pour dégager sa jupe et lui permettre de voler autour d’elle, dévoilant parfois un éclair de coton blanc. Je prends soin de rester derrière elle, ce qui ne lui échappe pas. Elle pédale parfois en danseuse, sans autre raison vraiment évidente que de m’offrir un gentil spectacle. Je ne sais pas exactement où elle veut en venir, à m’allumer ainsi. Et déjà, je ressens une certaine émotion. — Tu vois, cette grange ? C’est là qu’on va. Viens, on va planquer les vélos là-bas derrière. On rentre. Il y a là de la paille, des vieilles machines agricoles, quelques outils, et une échelle qui monte à l’étage où reste un peu de foin. — On va monter là-haut, on sera plus tranquille. Et elle grimpe à l’échelle. Je profite sans vergogne de la contre-plongée qui m’est ainsi offerte. Ce ne sont plus les cuisses de petite fille que j’entrevoyais il y a quelques années lorsque nous grimpions aux arbres, mais des cuisses de femme, et le petit ruban de culotte cache maintenant bien autre chose qu’autrefois… Je m’engage derrière elle, le cœur un peu battant. Nous sommes maintenant dans la grange, debout l’un en face de ...
... l’autre. Et maintenant ? je me demande… — Déshabille moi, m’ordonne-t-elle.— …?— Allez, vas-y, n’aie pas peur ! Je déboutonne son chemisier, un peu tremblant et maladroit, fais glisser un bras, l’autre. Elle est en soutien-gorge devant moi, et c’est déjà quelque chose de très innovant pour moi ! — Continue. J’hésite un instant entre continuer par la jupe ou par le soutien-gorge. Je trouve la fermeture Eclair de la jupe, l’ouvre, fais glisser le vêtement aux chevilles. Ma gorge devient un peu plus sèche. — Tourne toi, je lui demande. Elle se retourne, je dégrafe le soutien-gorge, en évitant de toucher sa peau avec mes doigts, comme si ce contact devait m’électrocuter. Elle se retourne à nouveau face à moi. — Alors ? Je fais glisser les bretelles sur ses épaules, dégage les bonnets et découvre ses seins, tout blancs, avec des aréoles gonflées, des pointes brunes et dures. Je reste interdit, et regarde. Martine est fière de l’effet produit. — Continue, souffle-t-elle. Je m’agenouille devant elle et descends sa culotte autour de ses cuisses, trop vite, sans ménagement. J’apprendrai par la suite à faire cela de façon beaucoup plus suave… Je me trouve nez à nez - si je puis dire - avec le triangle de ses poils, endroit mystérieux et ô combien imaginé. Je ne bouge pas, fasciné. Elle se recule d’un pas. — Regarde. Et elle tourne lentement sur elle-même pour me faire profiter de tous les angles : le profil montrant le galbe de son buste et de sa croupe, le dos qui révèle la forme du corps : ...