1. Première prise en mains


    Datte: 19/01/2018, Catégories: fh, Inceste / Tabou vacances, forêt, campagne, volupté, intermast, init,

    ... des épaules juste assez larges, un buste qui va s’amincissant jusqu’à la fine taille. Et puis la chute de rein, la rondeur du derrière, les fesses, avec ce sillon qui semble cacher pudiquement quelque trésor et, en bas, cette zone d’ombre encore si mystérieuse pour moi… Et les cuisses, objets quasi sexuels, tant elles ont le pouvoir de protéger et interdire ou au contraire dévoiler et offrir… Et, devant, ces seins pour lesquels on imagine mille caresses et mille douceurs, la taille, le ventre et sa fin, en bas, avec ce triangle presque trivial de poils, dernier rempart contre l’inaccessible. Martine est nue, pour moi. Je ne vois pas Martine, je vois la Femme. Je regarde, elle voit que je regarde, elle me l’offre. Je bande. Mon érection est à la mesure du cadeau. — À moi maintenant. Et elle entreprend de me déshabiller à son tour. Sans hésiter, elle me retire ma chemise, mon short. J’ai le cœur qui bat à tout rompre. Elle marque à peine un temps devant mon slip bien déformé par une monstrueuse érection. Elle commence à le descendre, en faisant bien attention de ne rien accrocher : crainte du contact, ou bien de me faire mal ? Elle marque un nouveau et bref temps d’arrêt devant l’objet qui se libère du sous-vêtement. C’est à ce moment qu’on entend une mobylette s’arrêter devant la porte. — Merde, qui c’est ? chuchote Martine. Vite, à plat ventre ! Nous nous jetons sur le plancher, terrorisés à l’idée de nous faire surprendre. La porte s’ouvre et on entend des chuchotements. ...
    ... Martine risque un regard : — C’est mon frère, me dit-elle à l’oreille, avec la fille du vigneron. Heureusement, ils sont bien trop pressés pour monter. De là où on est, on ne voit rien, mais on entend des froissements de vêtements, des cris et des rires étouffés, puis des sortes de petits cris rythmés, comme des cris de douleur. Martine a pris ma main et la serre, très fort. Nous sommes trop pétrifiés pour faire quoique ce soit. Finalement, silence, puis de nouveau des bruits de corps sur la paille, et on aperçoit la jeune fille qui remet sa culotte, rajuste sa blouse sur ses seins et Fabien, de dos, qui remonte son pantalon. Ils sortent, la mobylette démarre. Nous restons là… congestionnés, mais déconcertés. Nous nous regardons. Avec mon slip autour des cuisses, je suis ridicule. Nous faisons semblant d’en rire, mais la scène non vue a quand même été excitante, et mon reste d’érection reprend de la vigueur devant la nudité de Martine. — Viens, dit-elle, il faut y aller. Si on est en retard pour le repas, ça va faire des histoires. Je me dégage de mon slip. — Tu ne peux pas me laisser comme ça, je lui souffle à l’oreille. Prends-le dans ta main. Elle esquisse le geste, mais à peine l’a-t-elle touché, qu’elle retire sa main. — Non, je n’ose pas.— Si, prends-le, je t’en prie!— Je ne sais pas faire!— Prends-le, je vais t’aider. Elle le prend. La fraîcheur et la gracilité de sa main me surprennent et me fouettent. J’entoure sa main avec la mienne pour la guider, reste un long moment ...