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Docile à l'excès
Datte: 19/01/2018, Catégories: Dans la zone rouge,
... langue dans la raie de son cul au point que je réveille son désir. Je peux enfin l'enculer tout à mon aise. Elle me gratifie d'un chapelet de petits cris qui me font penser à des orgasmes multiples. Sitôt le petit déjeuner passé, elle me vêt d'une courte tunique sans manches qui me couvre à peine le bassin, me chausse de mes sandales et m'équipe d'une longue laisse. Cette tenue m'excite et j'en ressens les effets sur mon rythme cardiaque, ma respiration et une agréable sensation sur ma poitrine, mes fesses et mon bas ventre. Nous effectuons une longue promenade dans la campagne au cours de laquelle je suis autorisé à faire mes besoins à condition de rester en vue de mon bourreau qui ne me quitte pas des yeux. Son regard exprime en même temps le mépris et l'envie. J'ignorais que ma modeste anatomie pouvait avoir de tels effets. Par jeu elle trousse ma tunique sur les épaules ce qui renforce ma sensation de gène et de plaisir. Par moments, elle m'attire contre elle et me soumet à quelques caresses intrusives. J'apprécie ses attentions et seules mes chaînes me posent encore problème. Peu à peu, je m'habitue à ma condition servile et finis par trouver le sommeil malgré mes entraves. Une nuit, vers quatre ou cinq heures, deux jeunes parents de ma maîtresse et leurs conjoints, de retour d'une sortie nocturne me trouvent en travers de leur chemin. De sa chambre, ma maîtresse m'ordonne de satisfaire la sexualité de ses enfants. Je prête donc ma bouche et mes fesses aux mains des ...
... filles et aux vits des garçons. L'une des fêtardes torture mon cul étroit en essayant de le fister. Je me prête au tourment mais finis par m'évanouir de douleur. Mon corps inerte ne les intéresse bientôt plus et ils me laissent enfin me reposer. Un soir, alors que nous passons devant l'immense jardin d'un vieil homme du voisinage, occupé à nettoyer ses plantations, ma maîtresse m'ordonne de me dénuder et d'aller le rejoindre. Je m'y soumets presque avec plaisir. Le jardinier me regarde d'un œil torve et pince divers endroits de mon intimité. Mon cri de douleur lui tire un sourire et il arrache une fine badine plantée là comme tuteur. Il me fouette les fesses et le dos. J'esquive les coups autant que je peux et cela excite mon bourreau qui commence à rechercher les zones les plus sensibles. Je comprends vite que je dois me soumettre et ne bouge plus. Il s’arrête enfin et caresse doucement les blessures sur mon corps nu. Une bouffée de plaisir paradoxal monte en moi et me provoque une bien involontaire érection qui ravit le jardinier. Ma maîtresse, en colère, me saisit rageusement au collier et tire jusqu'à chez elle ou elle m'attache sans mot dire. Le matin suivant au réveil, je suis gluant de foutre ; envahi de fatigue et de honte. Elle est là, penchée sur moi, un sourire coquin aux lèvres. Elle me pince le sein, ce qui finit de me rendre conscient, puis me caresse doucement le dos. Ensuite elle me conduit à la salle de bains et m'asperge et m'étrille dans la baignoire. Mais ...