1. Docile à l'excès


    Datte: 19/01/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... progressivement son geste se fait moins brutal, plus tendre. D'un jet d'eau elle procède à ma toilette intime. Son insistance est telle que je frissonne et que mes sens exultent. Ma maîtresse se dénude alors, me rejoint dans la baignoire, et m'offre sa croupe pour la prendre en levrette. Mes mains libérées se cramponnent à ses petits seins durcis. Nos peaux humides font un bruit de ventouse à chaque mouvement et je sens mes bourses heurter l'intérieur de ses cuisses fuselées. Ravissement ! Les jours passent et ma situation change peu. L'amant me prend de temps à autre brutalement lors de ses passages. Ils m'associent parfois à leurs ébats et j'y ai le plaisir d'avoir le cul défoncé pendant que je m'active dans le vagin ou le cul de ma maîtresse. J'aime cela et je suis plus performant ainsi. Je n'ai pas revu les jeunes. J’espère que cela ne durera pas car j'ai apprécié le contact de leurs peaux fraîches et de leurs membres vigoureux. Grâce à eux et à son ami, mon hôtesse accepte mieux de me prêter à ceux que j'intéresse. Progressivement, elle s'en fait même un devoir. Aujourd'hui, c'est une journée entre filles ou je n'ai pas de rôle défini. Je reste sur mon territoire au coin de la cheminée. Mon repos est parfois interrompu par quelque caresse perverse, mais rien de plus. L'alcool coule à flots et les filles parlent de plus en plus fort. Elles évoquent leurs amours et leurs pensées cochonnes. Ma maîtresse propose une séance de lèche et me voici sous la table entouré de ...
    ... sexes dénudés . J'ai du mal à fournir et utilise simultanément ma langue et mes mains, ce qui me permet d'astiquer les six invitées trois par trois. Je m'agite et m'applique jusqu'à être pétri de crampes. La variété des toisons et des formes de sexes est extraordinaire. Les sensibilités sont très différentes . J'ai du envoyer au ciel cinq fois une grosse blonde au discret clitoris alors qu’une brune épilée bien dotée m'a longuement résisté . Une fois satisfaites mes compagnes m'ordonnent de me coucher sur la table et me font subir mille outrages. L'alcool aidant, elles finissent de se dénuder et je puis téter leurs seins, du téton à peine visible aux énormes loches. Voilà une délicieuse journée bien fatigante ! Depuis quelque temps, ma maîtresse a acheté un martinet et pris l'habitude de me fouetter le séant lorsqu'elle est mécontente. Elle accompagne ces séances d'insultes variées et peu imaginatives ou « chienne, pute, salope » et autres vocables ont une place de choix. Elle l’emmène partout. A son ordre, je dois m'installer les fesses levées, tête et genoux au sol. Elle me frappe longuement en économisant sa force . Je ne sais ce que je ressens le mieux entre la douleur du fouet sur ma peau nue et l'excitation incroyable que cela me procure. Il lui arrive aussi, sans raison, de me fouetter dans la rue pour affirmer sa domination et montrer ma soumission obscène à quelque villageois. Le jour de l'abattage du cochon, je suis voué à soulager les burnes des quelques hommes qui ...
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