Les découvertes de Ludivine - 2 : Les cousins
Datte: 20/01/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... là, secouant ses jambes d’avant en arrière en regardant autour de lui quand Marie-Agnès est sortie de la salle de bains, une serviette enroulée autour de ses cheveux. — T’es toute nue ! — Bien vu, Riton ! Finement observé ! Qu’est-ce que tu fais là, toi ? C’est une chambre de filles, ici, je fais ce que je veux ! T’attends quand même pas que ta cousine ou Ludivine se déshabillent devant toi ! Tu rêves ! Il continuait à balancer ses jambes en baissant la tête, un petit sourire aux lèvres en regardant les deux autres filles par en-dessous : — Ça me gêne pas … — Petit con, va ! Non mais ! Quel petit singe lubrique ! T’as pas honte ? Marie-Agnès s’était plantée devant lui, les poings sur les hanches. Elle a fait un pas en avant et l’a poussé d’une main sur la poitrine, et dans le même mouvement a tiré le bermuda sur ses cuisses : — Et là ! Tu fais moins le malin, maintenant ! Hein ? Elle continuait à tirer sur les jambes du bermuda, et lui se cramponnais à la ceinture de ses deux mains en se débattant. — Eh ! Venez m’aider, les filles ! Il se défend le petit singe ! Ah tu voulais te rincer l’œil ! Tu vas voir ! Ludivine n’a pas bougé, partagé entre rire et plaindre ce pauvre Henri qui serrait les dents et se tortillait sur le lit pour empêcher sa sœur de lui enlever son bermuda. Luce, elle, n’a pas hésité, elle a fait le tour du lit et a pris les mains d’Henri dans les siennes les lui tirant au-dessus de la tête. Marie-Agnès a fini de lui enlever le bermuda, Luce a lâché ses ...
... mains pour soulever sa veste au-dessus de sa tête, lui emprisonnant les bras et le visage dans le coton. Il ruait et se débattait et Marie-Agnès lui a immobilisé les jambes en s’asseyant dessus. Ce pauvre Henri se retrouvait sur le dos en travers du lit de Ludivine, nu comme un ver, la tête et les bras emprisonnés dans sa veste de pyjama. — Oh !!! Mais c’est qu’il a déjà du poil, l’asticot ! Un vrai petit homme, maintenant ! Elle joue avec toi, Julie ? Elle te montre son abricot, mais toi ? Tu lui a montré ta p’tit biroute ? Assise sur ses jambes, sa sœur donnait de petites chiquenaude dans sa verge, pinçait le scrotum entre le pouce et l’index et tirait sur les quelques poils noirs qui poussait dessus en riant : — Mais c’est qu’il est bien monté, le p’tit frère ! Mieux que le grand, on dirait ! Luce soulevait les sourcils en regardant Marie-Agnès. — Quoi ? Tu sais pas ? Tu l’as jamais tripoté, mon frère ? L’autre ? Je l’ai déjà vu à poil … pas impressionnant ! Elle avait dressé son index et le pliait et le dépliait devant les yeux de Luce : — Ce gamin-là est mieux servi que son grand frère, je t’assure ! Elle a éclaté de rire : — Et regarde-moi ça, ce petit cochon qui se met à bander ! Trois filles pour lui tout seul, tu m’étonnes ! Enfin, moi, ça compte pas ! Qu’est-ce que vous dites de ça, les filles ? Libère-lui une main, Luce … Allez, Riton, montre-nous comment tu fais tous les soirs, quand t’as fini de me mater par le trou de la serrure ! Hein ? p’têt qu’elles seront ...