Premières rencontres (1)
Datte: 21/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Je suis stupéfait de voir la relative aisance qu’elle manifeste dans cette situation, la maîtrise dans la manipulation de ces deux membres bandés pour elle. Le voisin de gauche ne peut, tout comme moi, tenir la distance. Je me libère, me répands au fond d’elle, quand je vois de grandes giclées laiteuses, jaillir de la gauche sur les pieds d’Anne. Elle se tétanise et jouit bruyamment elle aussi. Je sens son orgasme sur mon membre, les pulsations nerveuses de son vagin, un délice. La belle "bite" de droite est restée sur sa faim. Nous avions réalisé trois orgasmes simultanés ! Nous nous rajustons rapidement puis nous sortons de la cabine. Nous apercevons alors deux jeunes beurs de 18-20 ans, leur différence d’expression est flagrante, l’un souriant, satisfait, et l’autre encore un peu frustré, celui-ci peut-être, aurait bien voulu qu’elle le finisse, mais il n’a pas osé demander à Anne. Dommage, je crois qu’elle l’aurait fait, là, au milieu de tous . C’était la première fois m’avoua-t-elle, qu’elle avait ce genre de rapport avec plus d’un homme. Dans la rue, mon excitation n’était pas retombée, celle-ci n’a fait que croître en voyant les reliefs de l’éjaculation du mâle sur une de ses chaussures. L’inconnu du Parc. Quelques semaines plus tard, nous nous rendons dans une chambre d’hôte, située dans un petit village de la région de Saint Rémy de Provence. La région embaume les senteurs méridionales, une véritable incitation à la gastronomie et à la coquinerie. C’était en fin ...
... d’après-midi. À la place du passager, Anne portait un chemisier très fin et très échancré, des bas très sexy, en Lycra, et une jupe très courte. Nous demandons notre chemin à un passant, un très beau jeune homme, sur le trottoir, depuis sa position, près de la vitre ouverte, il surplombe l’intérieur de notre voiture. Il paraît fasciné par les jambes gainées d’Anne, jusqu’à la limite visible du haut des cuisses. Il nous regarde tout en se passant la langue sur les lèvres, comme pour me demander mon assentiment. Son regard en dit long sur ce qu’il aurait aimé lui faire si tout avait été permis ! J’ai bien regretté, ce jour-là, de n’avoir pas osé poursuivre plus loin avec lui ! J’aurais dû lui demander de nous accompagner, c’eut été plus simple et plus efficace. Sur les autoroutes ou dans la voiture, elle se laissait volontiers caresser, les pieds sur le tableau de bord, les cuisses largement écartées, la vulve suintante, la pulpe de mon index lissant son clitoris. Certains camionneurs ont profité d’une vue imprenable sur sa chatte qu’elle branlait avec délectation, pendant qu’alternativement, je lui titillais le bout des seins ou les petites lèvres humides. Certains klaxonnaient, en faisant des appels de phare. Pour nous faire arrêter, dans le prochain parking. Souvent même, nous nous arrêtions dans les aires de repos pour faire l’amour au risque d’être surpris par des routiers. Nos vraies rencontres, ont vraiment commencé en septembre 1990. Parfois nous allions la nuit, dans le ...