Blizzard
Datte: 21/01/2018,
Catégories:
ffh,
extracon,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
intermast,
Oral
Le blizzard se déchaîne, le chalet geint sous les coups de boutoirs du vent furieux. Alors que la journée avait été magnifique, la tempête s’était levée brusquement, contraignant les skieurs à rejoindre précipitamment la station. Arrivés le matin même, Céline et Manu avaient profité des pistes jusqu’en début d’après-midi, puis s’étaient installés sur leur terrasse pour profiter du soleil. À huit cents mètres de la station, à l’écart des pistes et des chemins de randonnées, le chalet était suffisamment isolé pour permettre le bronzage intégral. Le couple avait donc lézardé au soleil jusqu’en milieu d’après-midi. Vers 16 heures, alors que le soleil déclinait déjà, des nuages s’étaient amoncelés avant qu’un vent glacial ne gonfle soudain, obligeant les tourtereaux à battre retraite dans le chalet. Le temps de calfeutrer le chalet et de réactiver l’énorme poêle de la pièce principale, la tempête secouait déjà la maison de bois. La neige tombait si drue que Manu renonça à remonter les cent mètres qui séparaient la voiture du chalet. — Tant pis pour les valises de fringues, on a les provisions et les affaires de toilettes, les vêtements, on verra demain. Dans la douce chaleur du chalet, le couple bouquine tranquillement désormais lorsque des coups violents résonnent. Surpris, Céline et Manu échangent un regard inquiet : qui donc peut bien tambouriner contre la porte ? Peu rassuré, le couple se dirige vers l’entrée, hésite, mais les coups redoublent. À peine ouverte, la porte ...
... laisse le passage à une forme vaguement humaine qui se précipite dans le chalet. Dans le vestibule peu éclairé, Céline et Manu découvrent un bonhomme de neige qui bredouille quelques excuses et remerciements précipités parfaitement incompréhensibles tant il claque des dents. Céline le conduit dans la grande pièce, vers le poêle rougeoyant. Face à la chaleur intense dégagée, la glace et la neige accumulés sur les vêtements ne tardent à fondre en dégageant une forte buée. Le naufragé tremble et grelotte. Comme il se débarrasse rapidement de ses anorak et bonnet, Céline et Manu découvrent le rescapé : une charmante jeune femme que Céline reconnaît immédiatement. Un instant déstabilisée, elle reprend contenance : — Manu, tu reconnais Mademoiselle ?— Hein… euh… non, bredouille l’intéressé en écarquillant les yeux. Se tournant vers la donzelle, Céline demande : — Vous êtes une des préparatrices de la pharmacie… du Lion… à…— Oui, répond la jeune femme étonnée.— Nous habitons Rue des Marchands, explique Céline, je suis cliente chez vous et vous vous prénommez… Christine, je crois ?— Christelle, précise la jeune femme qui grelotte toujours. Debout, dos au calorifère, la jeune femme reprend des couleurs. Toujours parcourue de frissons et de tremblements, Christelle explique qu’elle a été surprise par la tempête. Dans le blizzard, elle avait rapidement perdu tout repère et décidé de descendre à travers prés pour échapper au froid : c’est ainsi qu’elle était tombée, au sens littéral du terme, ...