Blizzard - Histoires de Sexe

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... mais fesses hautes, taille fine et poitrine plutôt arrogante. Sans être d’un volume extraordinaire, ses seins en pommes sont hauts, fermes et pigeonnent assez joliment dans les décolletés un peu provocants qu’elle arbore régulièrement. — Tu ne crois pas que le poêle chauffe trop ? Il n’y a pas de risques ? demande Céline.— Aucun risque, répond Manu, c’est vrai que je l’ai peut-être un peu trop chargé mais le seul risque qu’on court, c’est d’avoir très chaud !— Trop chaud, tu veux dire ! Je crame moi, dans mon velours, déclare Céline en quittant la pièce pour chercher des boissons chaudes dans la cuisine. Confortablement installé dans de grands fauteuils en rotin autour d’une petite table basse, le trio déguste à petites gorgées un vin chaud épicé. Après le stress de son aventure, Christelle retrouve son calme. "Jolie fille" pense Céline en détaillant la jeune femme. Ses cheveux bruns, incroyablement longs (ils lui descendent jusqu’au-dessus des fesses), encadrent une bien jolie frimousse : de grands yeux rieurs soulignés par de longs cils épais, un nez légèrement bourbon mais fin, une bouche aux lèvres bien dessinées, un sourire permanent qui découvre une belle rangée de quenottes blanches parfaitement alignées, un petit menton rond et des pommettes un peu saillantes qui se colorent rapidement sous l’effet de la chaleur et du vin chaud. Aucune trace de maquillage sur cette peau de pêche, fine et délicate, au teint éclatant et bronzé. Détendue, la jeune femme a l’air ...

... parfaitement à l’aise malgré sa tenue. Manu, pour sa part, a noté avec satisfaction qu’elle ne s’escrimait pas à tirer sur son pull en s’asseyant. Bien calée dans son fauteuil, jambes sagement croisées, la jeune femme tient sa tasse à deux mains et sirote le liquide réconfortant à petites gorgées. Réconfortée, elle explique plus avant son aventure : — Comme je vous l’ai déjà dit, j’ai passé une semaine à l’hôtel mais je ne voulais pas repartir sans m’offrir une belle ballade. Et comme personne ne m’attend…— Mais vous… Céline s’interrompt et demande : — On peut se tutoyer, non ? Comme la jeune femme acquiesce, elle poursuit : — Tu as passé une semaine toute seule ici ?— Oui, je suis célibataire en ce moment !— Comment une aussi jolie fille peut-elle être seule dans la vie ?— Bof, c’est bien aussi d’être libre de ses mouvements, si ça ne dure pas trop longtemps, bien sûr. Cela dit, je dois reconnaître qu’en venant ici, j’espérais bien m’offrir une ou deux petites aventures… croustillantes…— Et alors ? interroge Céline.— Rien, nada, fiasco ; y a que des vieux dans cette station ! Réalisant ce qu’elle vient de dire, la brune rougit et enchaîne précipitamment : — Je ne dis pas ça pour vous, bien sûr !— Rassure-toi, on avait compris ! Mais donc, chou blanc cette semaine ?— Oh, je me suis fait draguer l’une ou l’autre fois, mais alors, que des beaufs ! Il y en a un qui m’a abordé au resto de l’hôtel le premier soir, un moniteur bronzé et sûr de lui, Casanova des pistes, persuadé qu’aucune ...