Don Booth et l'immeuble maudit
Datte: 22/01/2018,
Catégories:
h,
fh,
grp,
extracon,
cocus,
voisins,
grossexe,
grosseins,
bizarre,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fgode,
pénétratio,
double,
fdanus,
fsodo,
jouet,
Partouze / Groupe
attache,
yeuxbandés,
humour,
policier,
... changer de sujet. Elle s’empourpra et baissa le regard. — Merci, vous êtes gentil. J’aime les hommes gentils. Je pensai à Dooling. Était-il gentil avec elle ? Je me mis, malgré moi, à imaginer l’énigmatique catcheur et ses muscles saillants au lit avec l’hystérique madame Robinson. Il aurait pu trouver pire, remarquez, elle n’était pas si fade en y regardant de plus près, avec son petit nez mutin, ses lunettes qui lui donnaient un air faussement intello, mais ne cachaient pas ses yeux noisettes, et puis je devinais sans peine des formes épanouies sous le tissu de sa robe… Et cet accès de violence qu’elle venait d’avoir, le reproduisait-elle au pieu ? Cela pouvait donner quelque chose de barbare, mais de puissamment excitant… Mais je me rendis compte que je m’étais laissé un peu trop absorber par son décolleté et que j’en oubliais d’écouter ce qu’elle me racontait : — Alors comme ça vous êtes un expert en sécurité ?— Hein ? Expert ? Ah oui ! Effectivement ! C’est dingue comme une simple paire de nichons bien opulente peut vous faire soudain oublier les bases du métier. J’avais manqué de fiche en l’air ma couverture. — Auriez-vous des conseils à me donner ? J’aimerais justement me sentir en sécurité.— Oh, eh bien, oui, je peux vous en donner des tas !— Par exemple ?— Hé bien… verrouiller votre porte lorsque vous sortez, par exemple, c’est la base. Ou alors, un petit tuyau que je peux vous donner : si vous rentrez chez vous tard le soir et qu’une vingtaine de types portant ...
... des blousons noirs vous accoste en vous proposant de les accompagner dans la cave d’un immeuble : refusez, c’est peut-être un piège !— Oui, c’est un précieux conseil, je n’y aurais jamais pensé ! Je sautai sur l’occasion, attrapant au vol la perche qu’elle me tendait : — Pourquoi me parlez-vous de cela, vous ne vous sentez pas en sécurité dans cet immeuble ?— Oh de nos jours, on n’est en sécurité nulle part ! Mais c’est vrai que dans cet immeuble, depuis quelque temps… En plus mon mari n’est pas souvent là à cause de son métier, alors il est vrai que je me sens parfois un peu seule… Je me remis à l’imaginer dans les bras de Dooling, le costaud lui défonçant la chatte dans une position tout droit sortie d’un manuel de lutte gréco-romaine, et elle hurlant comme une possédée et pétrissant ses seins lourds alors qu’elle… je m’arrêtai soudain dans mes réflexions : pendant que mon esprit « déviait », elle avait continué de parler et là encore je n’avais pas fait très attention à ce qu’elle disait, mais un détail venait brutalement de m’arracher à mes divagations… — Attendez, qu’avez-vous dit ?— On lui a volé son pénis, parfaitement ! Alors j’avais bien entendu… — Le pénis… de votre mari ?— Mais bien sûr, c’est de ça que je vous parle ! J’ai eu un mal fou à m’en remettre !— Mais comment peut-on… voler le pénis de quelqu’un ?— Il était rangé à sa place ; toute chose a une place dans l’harmonie universelle !— Oui, j’imagine bien, un pénis se range… euh… là où la nature l’a mis ! Mais ...