Don Booth et l'immeuble maudit
Datte: 22/01/2018,
Catégories:
h,
fh,
grp,
extracon,
cocus,
voisins,
grossexe,
grosseins,
bizarre,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fgode,
pénétratio,
double,
fdanus,
fsodo,
jouet,
Partouze / Groupe
attache,
yeuxbandés,
humour,
policier,
... assistante se faire démonter par les trois voyous qui la besognaient. La chatte de madame Kuck dégoulinait dans la bouche de mon assistante qui prenait le plus vif plaisir à tout lécher, s’attardant sur le clito de la dame et explorant le moindre pli de sa vulve trempée. Pendant ce temps Dooling y allait de bon cœur dans la chatte de Karen, la défonçant comme une brute avec son énorme gourdin de la taille de l’Empire State Building. Madame Robinson, en dessous, ne faisait finalement rien, elle se contentait d’attendre que Dooling rabatte Karen vers elle : à chaque fois qu’il défonçait la chatte de la jeune femme, elle venait s’affaisser sur la bite en plastique que madame Robinson mettait à sa disposition à l’étage en dessous. Karen criait, suffoquait à moitié sous la mouille de madame Kuck, se faisait déchirer par les bites de Dooling et de madame Robinson, et je voyais d’où j’étais le pied qu’elle prenait. Mais alors, madame Robinson se mit à crier : — Hey ! Don Booth ! Tu te crois où ? Tu ne mates pas comme ça ! Je te préviens que je vais te donner la punition que tu mérites !— Oh oui ! Moi aussi, ajouta madame Kuck. Tu dois rester tranquille et pourtant je vois bien que tu t’astiques le manche !— Aïe, Don, tu vas avoir droit à deux punitions en même temps, et de la part de ces deux furies, tu risques gros, ajouta Dooling.— Don ! Arrête tes conneries, articula péniblement Karen avec une bouche emplie de mouille. Tu as résolu l’affaire, va voir tes chaussures et ...
... laisse-moi en finir avec ceux-là ! Euh… Attendez… il s’est passé quoi là ? Résumons : Karen se fait prendre par-devant par un mec, par-derrière par une fille en gode-ceinture, et sa bouche est occupée par la chatte d’une autre, et moi je mate et je me branle, parce que, oui, j’étais effectivement en train de me branler en regardant cette partouze. Et là, je crois qu’elle m’a dit un truc important… Mes chaussures ? J’arrêtai de me branler, malgré les regards totalement abasourdis de Maxwell, et je regardai mes pieds. Je portais des pantoufles tout ce qu’il y avait de plus classiques… Je ne comprenais pas… Et puis d’un seul coup la lumière se fit : mes chaussures ! Elles étaient dans l’appart ! Je descendis d’un étage, ignorant les cris des autres, et débarquai à nouveau dans mon logement à travers la porte que je n’avais pas pris la peine d’ouvrir un peu plus tôt et qui béait sur le palier. Mes chaussures étaient là, posées au sol. Je les pris, et… Et quoi au juste ? J’étais censé en faire quoi ? Je remontai quelques marches dans l’escalier afin de poser la question à Karen, mais des hurlements de sauvage me parvenaient de l’appart de Dooling et je n’avais en fait pas envie d’y remettre les pieds. Je regardai à nouveau mes chaussures : simples godasses de cuir brun, avec des lacets tout ce qu’il y avait de plus quelconque, avec une semelle elle aussi totalement quelconque, pleine de poussière récoltée à droite et à gauche, et… — Bon sang ! La poussière ! Non ! Pas de la poussière ...