Quand on tire le diable par la queue (4)
Datte: 22/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... diabète et il n’arrivait plus à bander. Son ménage était au bord du gouffre et de ce fait on est devenu très ami aussi avec ma mère. – C’est dingue tes histoires, tu veux me dire que la cloque qu’à Martine, c’est toi l’auteur. – C’est pas sur, le fait de me voir sur sa femme, entrain de lui faire l’amour, d’un coup, il a réussi à bander à nouveau et il l’a aussi inséminé. On ne veut pas savoir qui est le vrai père, c’est mon cadeau pour sa largeur d’esprit. Mais je pense qu’il est inutile de te recommander la plus grande discrétion à ce sujet, personne ne doit le savoir, il y a tellement de mauvaises langues qui seraient enchantées de profiter et lancer des ragots peu ragoutants. – C’est clair que je ne vais rien dire, mais je vois que tu es l’étalon du village, déjà Jasmine, puis Martine, maintenant moi enfin je crois. – Te fais pas de soucis, je n’ai pas envie de te mettre en cloque. Rita monte l’échelle pour arriver à la soupente et les voit les deux à poil, tête bêche. – Tiens fiston, voila les chapeaux en caoutchouc. Pas besoin de vous recommander d’être sage, dit-elle malicieuse. Tu veux que je te la mette ? – Non, je crois que Maryse y arrivera toute seule. Merci – Je plaisantais un peu. – J’ai bien compris. – Vraiment vous êtes trop cool. Elle l’aurait fait ? – Oui, pourquoi pas. Elle m’aime trop. – Quand même. Voila, il est mis. Tu permets que je vienne sur toi, j’aime mieux comme cela. – Cela me convient parfaitement. C’est ainsi que Jean se retrouve sur le dos ...
... et Maryse qui lui grimpe dessus, lui attrape la queue et l’enfile dans son con. Cela rentre tour seul, tellement c’est mouillé, car toutes ces révélations et le léchage de Jean, l’ont amenée à l’orée du plaisir suprême. Elle s’agite en avant, en arrière, elle tangue de gauche à droite ressort et rentre de plus en plus vite. – C’est beau quand même deux jeunes qui font l’amour, dit la mère en les regardant avec un regard très tendre. – C’est pas beau par contre de jouer au voyeur, réplique Maryse. – Pourquoi, tu as un tellement beau corps que j’ai aussi envie de le câliner, dit-elle en se rapprochant et en lui caressant le dos. Ta transpiration me bouleverse complètement. – C’est que je n’ai pas l’habitude des amours saphiques avoue Maryse. – C’est pas grave, tu me permets de te sucer les seins, cela me ferait très plaisir. – Oui, mais après, quand je serai remise, j’aimerai aussi déguster les vôtres. – Mais ils sont tout vieux. – Cela ne fait rien, la peau est probablement plus douce. – J’aimerai bien, tu me feras bien plaisir, j’aime autant les femmes que les hommes, mais cette révélation est toute récente. Pendant longtemps, c’était plutôt le désert et tout d’un coup, c’est venu. J’aime tout, tous et toutes. – Même votre fils ? – Lui c’est le plus. Que ferai-je sans lui ? C’est ma lumière, mon phare, ma joie, mon homme à la maison. Si on me l’enlevait, ce serait comme si on me coupait les bras et les jambes. Je confirme l’appréciation de Jean, tes seins sont délicieux. – ...