Quand on tire le diable par la queue (4)
Datte: 22/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
On se retrouve en été, Richard et Jean s’occupent bien de Jasmine, dont le ventre s’arrondit et Martine, elle s’approche de son terme, à ce moment là, elle ne supporte plus que les gentillesses de son mari ou de Rita qui est devenue sa grande amie, au grand dam de toutes les dames patronnesses, qui ne comprennent pas qu’une pauvre femme puissent être aussi liée à Madame la pasteur. C’est alors que Richard reçoit en stage sa nièce, Maryse, qui va commencer la faculté de lettres, mais désire se faire un peu d’argent pour le semestre. Son oncle, sans malice, la confie à Jean pour la placer à un poste pas trop exigeant. Comme elle n’a aucune qualification en horlogerie, il lui confie l’inventaire de l’outillage. Fréquemment, elle doit déranger Jean pour savoir quel nom a cet outil, mais il est tout content, car l’oeil égrillard, il contemple cette jeune poulette qu’il mettrait bien à cuire, mais il n’ose pas trop. Elle est comme sa tante, rousse flamboyante, mais elle, elle n’a pas teint ses cheveux en bond, elle assume. Souvent, quand elle vient, elle pique des phares en allant le déranger et ne peut s’empêcher de penser à lui faire du rentre dedans. Petit manège qui n’échappe pas à Jean qui s’y prête volontiers. Il se laisse draguer et plutôt l’encourage dans cette direction, mais sans prendre aucune initiative, (il est déjà pas mal pris avec Jasmine et sa mère qu’il faut contenter) Vraiment, la maison retapée est presque méconnaissable. Jean, l’invite avec le pasteur, sa ...
... femme, son patron et son épouse à suspendre la crémaillère. Le pasteur, connaissant bien Jean, fournit le vin, (pris sur le vin de la communion) et son patron, lui paie le traiteur. C’est pas évident de mettre tout le monde dans cette petite maison, mais le beau temps aide bien. C’est à cette occasion que le patron de Jean expose au pasteur son idée de se réunir une à deux fois par semaine pour faire des parties fines, entre ses deux couples avec Jean et sa mère, sous couvert de jouer aux cartes. Il lui expose que depuis que sa femme est enceinte, il n’arrive plus à suivre et cela serait bien de ressouder leurs entente. Maryse qui était à l’intérieur de la maison entend cette conversation et se dit : – Tiens, cela m’a l’air de bien rigoler dans la région, je ne pensais pas que Jean était à ce point l’homme central. Je vais un peu précipiter les choses. Sous prétexte qu’il fait vraiment chaud et qu’elle a pas mal bu, elle lui demande si il a un coin discret pour se rafraîchir. – C’est pas trop discret, parce quand on est les deux avec ma mère, on a pas la place pour faire une salle de bain, mais si tu veux un peu te reposer, sous la soupente, il y a ma chambre et tu peux t’y reposer. – Merci, dit-le à personne, je n’ai pas envie de continuer la fête, c’est pas très drôle pour moi ! – C’est pas vraiment sympa pour moi qui l’ai organisée. – Tu n’es pas en cause, mais à part toi, il y a une génération de différence et leurs soucis ne sont pas les miens. – Ok, je dirai que tu es ...