Marylène se réveille !
Datte: 22/01/2018,
Catégories:
f,
fh,
couple,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
noculotte,
Masturbation
Oral
fgode,
fsodo,
jouet,
jeu,
attache,
exercice,
portrait,
... mon journal. J’imagine alors à quel point Vanessa sera surprise lorsque je lui en parlerai au prochain cours. Dès la première page, des détails précis refont surface : — Tu te souviens de l’état dans lequel j’étais à mon arrivée le premier soir ? Excitée, curieuse, gênée aussi. Eh ! Tu te souviens quand j’ai observé discrètement le couple de la quarantaine installé sur la banquette près du bar ?— Oui : les patrons venaient juste de nous présenter et tu les écoutais à peine, tant ce qui se passait autour de toi t’intriguait.— Normal ; c’était la première fois que je voyais des libertins ! D’ailleurs, je n’étais pas la seule à contempler la femme, n’est-ce pas ? Elle était vraiment belle dans ses dentelles noires cachant à peine ses seins et son minou. C’est sûr, j’ai bien fait la voyeuse et j’imaginais que sa robe ajourée ne devait pas peser plus d’une centaine de grammes. Elle avait posé une jambe sur celle de son homme de manière impudique pour ouvrir ses cuisses et elle regardait sans gêne la jeune femme assise sur un pouf en face d’eux. La jeunette était tout aussi osée, car elle offrait aux regards de ce couple de quadras ses jambes écartées à un point qu’il lui aurait été impossible de glisser un plug entre ses fesses. Qu’avais-tu pensé en me voyant me déplacer pour mieux contempler leur entrejambe et distinguer les lèvres à peine cachées sous de petites touffes ?— Je te trouvais très intéressée et même attirée par les deux femmes, Marylène.— Intriguée, oui ; et j’ai ...
... bien vite compris – aux regards qu’elles échangeaient – que tout allait se jouer entre elles. Mais quelle drôle de sensation pour moi de voir cet homme se régaler littéralement des jeux de séduction des coquines entre elles. — C’est vrai, Marylène, qu’il y a eu de quoi voir et de quoi entendre aussi, avec les cris et les râles des jouisseurs. Certains étaient tellement aveuglés par les plaisirs qu’ils ne cherchaient plus à choisir leurs partenaires. La première personne du sexe qui leur convenait était bonne à prendre, parfois même bestialement.— Christophe, pour ma part je préfère nettement la sensualité et l’érotisme. D’ailleurs je n’ai pas manqué d’en voir au cours de la soirée, mais j’ai aussi regardé défiler devant moi des gourmands préférant le sexe pour le sexe. Ceux-là multipliaient les rencontres, et les échanges se faisaient avec ardeur entre couples. Les« côte-à-côte » et les« mélangistes » se retrouvaient souvent à cinq, six, voire plus jusqu’à l’ivresse des corps et se succédaient dans la petite salle. J’étais coincée par mon travail et il n’y avait pas moyen que je bouge ; je restais là, frémissante de plaisir à regarder le bal sans relâche des jambes caressées, des sexes ardents, vigoureux et brûlants qui allaient bon train à pénétrer tout ce qui était pénétrable, au milieu des gémissements et des cris. Mais ce qui m’a le plus surprise, c’est le manque de gaîté : personne ne souriait !— Tu as raison, Marylène ; c’était étonnant. Dire que j’ai travaillé au bar ...